Aucun achat sans avoir vu et testé le véhicule !
Nous vous recommandons très fortement de ne jamais acheter un véhicule ou avancer les moindres frais sans l’avoir vu et sans l’avoir testé ! C’est plutôt logique mais régulièrement, des pvtistes se font arnaquer en pensant initialement faire une bonne affaire : soit le véhicule n’existe tout simplement pas, soit il ne marche pas. On a déjà vu des pvtistes acheter un van qui n’avait même pas de moteur !
Bref, même si les vendeurs semblent être des personnes de confiance, à aucun moment, vous ne devez vous emballer et envoyer les moindres fonds avant de l’avoir vu en personne, de l’avoir fait démarrer et de l’avoir testé.
Après avoir inspecté visuellement le véhicule, nous vous recommandons également de le filmer entièrement (prenez le temps de le regarder directement, pas seulement à travers l’écran de votre téléphone !). Cela vous permettra de le revoir à tête reposée et déceler des éléments que vous pourriez avoir manqué (ou vous souvenir de certains éléments). Cela va de soi, mais n’examinez pas le véhicule sous une lumière électrique ou dans la pénombre : rien ne vaut la lumière du jour.
L’état général du véhicule
Le gouvernement de South Australia a développé le programme Australasian New Car Assessment Program (ANCAP) présentant et notant différents véhicules en fonction de leur degré de sécurité. C’est un document très utile, qui peut vous aider à faire votre choix ! Vous trouverez également sur cette page un document listant les points principaux sur lesquels il faut faire attention. Vous pouvez l’imprimer et rajouter des caractéristiques propres à votre recherche. Ce site vous apportera vraiment beaucoup d’informations sur le coté sécuritaire d’un véhicule : Buying a safe used car.
L’aspect général est important, mais ce n’est pas forcément le plus déterminant. Bien sûr, il convient de regarder s’il ne manque rien : rétros, ceintures de sécurité, phares qui fonctionnent, pneus pas trop usés, état des freins, du moteur, état du pare-brise.
Si la voiture a de nombreux impacts ou des portières endommagées, même si au premier abord cela ne nuit pas à l’intégrité de la voiture, ça veut dire que le propriétaire a eu de nombreux accidents, qui ont peut être engendrés des problèmes mécaniques.
À moins que le vendeur de la voiture ne vous confirme qu’il n’y a pas de problèmes du point de vue sécuritaire et mécanique (par exemple, avec un contrôle technique), évitez le plus possible d’acheter ce type de véhicule.
Le fait que le véhicule soit équipé d’une roue de secours et d’un cric peut être un plus.
En complément, vous pouvez également vérifier si la clé tourne bien dans la serrure et dans le démarreur (ce serait embêtant qu’elle s’y casse), si les fenêtres ne se bloquent pas etc. Vérifiez également la prise de l’allume cigare fonctionne (utile pour y brancher son téléphone…).
Le nombre de kilomètres
Les vans en Australie ont souvent entre 300 000 et 400 000 km au compteur. Les voitures australiennes tiennent plus longtemps que les voitures européennes mais forcément, plus il y a de kilomètres au compteur, plus votre véhicule a de chances de vous lâcher en chemin !
Il n’y a pas vraiment de règles concernant les kilométrages, ou du moins, c’est à vous de fixer les limites. Sachez simplement que certains véhicules sont reconnus pour être « increvables » (exemple : le Toyota Prado et Landcruiser).
Faites également attention : il arrive que les odomètres soient trafiqués pour montrer qu’ils ont moins de kilomètres que la réalité. Évidemment, c’est illégal, et il n’y a pas grand chose à faire dessus. Vous pouvez néanmoins vérifier l’état des pédales pour voir si le compteur kilométrique n’a pas été trafiqué : si les pédales sont très usées et que le compteur kilométrique est bas, il y a un problème. Ce n’est pas une science exacte, loin de là, mais cela peut mettre la puce à l’oreille.
La peinture est particulièrement abîmée, délavée : problème ?
Non, pas forcément. Les voiture australienne sont exposées à des rayons de soleil particulièrement puissants. Si la voiture n’est pas protégée contre le soleil, la peinture du capot de la voiture (ou de son toit) a tendance à s’abîmer après quelques années seulement. Ainsi, ne soyez pas effrayés par la peinture abîmée.
Toutefois, si la peinture est vraiment dans un triste état, il pourrait être utile de vérifier d’autres éléments qui pourraient être endommagés par les rayons du soleil : les pièces en caoutchouc, en particulier aux fenêtres et aux portes, qui pourraient poser un problème d’étanchéité.
La rouille et la corrosion
Dans un pays assez sec où les voitures ne sont pas trop soumises ni à la pluie, ni à la neige, on aurait tendance à penser que le risque de voir les véhicules australiens rouiller est limité… Que nenni. En plus du soleil, les voitures australiennes sont exposées à l’air marin. Or, le sel est un des pires ennemis pour les carrosseries. Avec le soleil, les peintures ont tendance à absorber encore davantage le sel.
La combinaison sel + soleil est ainsi un cocktail explosif qui peut avoir de lourdes conséquences pour le développement de la rouille sur un véhicule.
La rouille est un des pires ennemis des voitures, donc il vaut mieux éviter de tomber sur un véhicule rouillé. Il importe donc de vérifier attentivement les différents éléments du véhicule pour vérifier qu’il n’y a pas de rouille (ou pas trop).
Il arrive également que la rouille soit dissimulée par de la peinture (qui n’est dans ce cas qu’un cache-misère). Pour vérifier qu’une peinture toute propre ne cache pas une carcasse, voici une astuce toute simple : prenez un petit aimant (oui, vous pouvez même embarquer les aimants promotionnels qui sont sur votre frigo) et passez le doucement sur la carrosserie. Si l’aimant s’attache, c’est bon signe. En revanche, si l’aimant ne s’accroche pas, c’est certainement de la rouille qui se trouve sous la peinture. Et ça n’est pas bon signe.
Comment éviter d’acheter un véhicule qui aurait pu être exposé au sel de mer ? Si vous voyez des petites traces blanches de cristallisation sur des éléments du moteurs, c’est peut-être parce que le véhicule a été en contact avec de l’eau de mer.
Le contrôle technique
Les États australiens ont des politiques différentes en matière de contrôle technique. Les contrôles techniques sont différents des contrôles mécaniques. Le contrôle technique vise avant tout à s’assurer de la sécurité du véhicule. Un véhicule avec un contrôle technique valide pourrait néanmoins avoir des problèmes mécaniques importants.
Lors d’un contrôle technique, la personne chargée du contrôle va vérifier les éléments suivants :
- La qualité des pneu et la profondeur de la bande de roulement ;
- La carrosserie du véhicule ;
- L’état des ceintures de sécurité ;
- L’état du moteur, de la transmission et de l’échappement ;
- Les fuites de liquide de moteur ou de liquide de transmission ;
- Un test des frein ;
- Les équipements comme les phares, freins et clignotants.
Le contrôle technique annuel (eSafety check)
Pour certains États, les véhicules enregistrés sur leur territoires et qui ont quelques années d’existence (ce qui est extrêmement commun pour les véhicules de pvtistes) doivent passer un contrôle technique tous les ans.
- La New South Wales pour tous les véhicules qui ont 5 ans et plus. Le contrôle technique s’appelle le Pink Slip en NSW.
- Le Northern Territory pour tous les véhicules qui ont 10 ans et plus.
Si vous êtes intéressés par un véhicule enregistré en New South Wales et dans le Northern Territory, vous avez plus de chances de tomber sur un véhicule « sécurisé », les propriétaires ayant dû faire vérifier leur véhicule régulièrement et avoir fait les réparations nécessaires, quand des problèmes apparaissaient au contrôle.
Le contrôle technique obligatoire lors d’une vente
Pour d’autres États, les véhicules enregistrés doivent passer un contrôle technique à chaque transfert de véhicule.
- Le Queensland : il doit être réalisé par le vendeur et reste valide 2 mois ou 2000 km (ce qui arrive en premier).
- Le Victoria : il doit être réalisé par le vendeur et ne doit pas dater de plus de 30 jours au moment du transfert de la rego. On l’appelle le RWC (certificate of roadworthiness) dans cet État).
Lors de l’achat d’un véhicule immatriculé dans un de ces états, demandez à voir le rapport du contrôle technique pour vérifier qu’il est toujours valide.
Les autres États australiens
Pour les États suivants : Tasmania, Western Australia, South Australia, Australia Capital Territory, aucun contrôle technique régulier ou au moment de la vente n’est prévu. Néanmoins, les officiers de police peuvent ordonner un contrôle technique dans ces États lorsqu’ils constatent que les véhicules pourraient représenter un danger. On appelle ça : defect notice ou encore une call-in notice. Si cela vous arrive, gardez le rapport du contrôle technique, il pourrait vous être utile à la vente.
L’obligation ou non de passer un contrôle technique (pour la vente ou pour un contrôle annuel) est à double tranchant :
- En tant qu’acheteur, vous devez être d’autant plus vigilant face à un véhicule qui n’a pas passé de contrôle technique dans les mois qui précèdent la vente ou qui n’a pas passé de contrôle technique dans les 12 derniers mois.
- En revanche, en tant que propriétaire, ne pas avoir à passer de contrôle technique avant la vente ou au cours de l’année peut être aussi une démarche et un peu de stress en moins d’avoir à engager des frais pour effectuer les réparations nécessaires pour obtenir un contrôle technique validé.
Vérifier plus largement la mécanique
Le contrôle technique vous permet de vous assurer que votre véhicule ne présente pas de danger sur la route. Toutefois, il ne vous garantit pas qu’il fonctionne parfaitement. Il convient donc de vérifier d’autres éléments.
Vérifiez bien le sol sous le véhicule, surtout si celui-ci a été stationné au même endroit un long moment : il ne doit pas y avoir de tâches, ce serait synonyme de fuites !
Démarrez le moteur et vérifiez qu’il ne bouge pas dans tous les sens et qu’il tourne bien.
Il est important de tester le véhicule en le conduisant pendant quelques minutes : est-ce qu’il freine bien ? Est-ce qu’il est confortable à la conduite ? Est-ce que la conduite est fluide ? Est-ce que le changement de vitesse (pour les manuelles) se fait facilement ? A-t-il une bonne reprise ? Est-ce qu’il fait un bruit normal ? Est-ce qu’il n’y a pas d’odeur suspecte de brûlé ? Etc.
Si vous le pouvez, faites vous accompagner de quelqu’un qui s’y connait plus que vous en mécanique ! Dans tous les cas, il vaut mieux être deux (pour checker si le véhicule fume notamment).
Vous n’y connaissez vraiment rien ? Vous pouvez également demander à emmener le véhicule dans un garage pour qu’il soit inspecté (un mechanical check ou pre-purchase inspection). Contre quelques centaines de dollars, un mécanicien peut vous aider à vous décider et faire un choix un peu plus sûr que « on croise les doigts pour que ça passe ». Si c’est une épave, le mécanicien pourra rapidement le voir. Évidemment, allez dans un autres garage que celui recommandé par le vendeur. Il ne s’agit pas d’aller faire passer ce test (couteux) à tous les véhicules que vous souhaitez acheter, mais à celui que vous êtes vraiment prêt à acheter.
Les factures et le carnet de suivi
Les propriétaires ont tendance à garder les factures de leurs réparations effectués pour le véhicule qui peuvent servir de preuve du soin apporté au véhicule avant la vente. Si le vendeur ne le fait pas directement, nous vous recommandons de les lui demander (et de les garder ou d’en faire une copie si vous choisissez d’acheter le véhicule).
Par ailleurs, les vendeurs peuvent également disposer du livret d’entretien du véhicule. Ce livret est ensuite transmis de propriétaire en propriétaire et permet d’effectuer un suivi de l’entretien du véhicule. Lors de l’inspection du véhicule, n’hésitez pas à le consulter pour vérifier l’entretien dont il a bénéficié (notamment pour les vidanges qui se font normalement tous les 10 000 kilomètres ou tous les 6 mois environ).
L’aspect légal
Il est essentiel que le véhicule que vous souhaitez acheté :
- ne soit pas gagé ;
- soit bien enregistré (la rego) – vous devez aussi vérifier quand la rego expire ;
- Vous avez aussi la possibilité d’obtenir un historique du véhicule.
Vérifier l’enregistrement d’un véhicule (rego) – gratuit
La Registration (ou rego) correspond à l’enregistrement d’un véhicule auprès d’un des États australiens. Quand vous achetez un véhicule, il est essentiel de connaître le statut d’enregistrement du véhicule que vous convoitez. Quand il est en cours, vous pouvez connaître jusqu’à quand la rego est valide et à partir de quand il sera nécessaire de la renouveler (si vous n’avez pas à enregistrer votre véhicule auprès d’un autre État).
Vous pouvez obtenir cette information auprès du vendeur, mais vous pouvez aussi l’obtenir officiellement et gratuitement auprès de l’État où est immatriculé le véhicule. Vous n’avez besoin que de la plaque d’immatriculation (registration number – le numéro de la rego) pour le faire :
- Western Australia (WA)
- Northern Territory (NT – Outback Australia)
- Queensland (QLD – Sunshine State)
- New South Wales (NSW)
- Victoria (The Education State – The place to be – Stay Alert / Stay Alive – On the move – Garden State)
- South Australia (SA – The Festival State)
- Tasmania (Tasmania – Explore the possibilities – Your natural State – Holiday Isle)
- ACT
Les infos peuvent différer d’un État à un autre. Par exemple, pour les véhicules immatriculés en Tasmanie, la recherche d’une plaque d’immatriculation permet de savoir en quelques secondes si le véhicule a été volé ou « write off ».
Connaître l’État d’immatriculation du véhicule est très important. En effet, si vous vous trouvez dans un État différent de l’État dans lequel est immatriculé le véhicule, vous pourriez avoir à faire des démarches plus ou moins contraignantes lors du changement de propriétaire.
Vérifier qu’un véhicule n’est pas gagé, volé ou annulé (2 $AU)
On parle de loans against cars / car under finance / security interest en anglais. La voiture sert de garantie pour le remboursement d’un prêt. Le prêt n’est ainsi pas sur une personne, mais sur un bien (la voiture). Si vous achetez une voiture gagée, vous pourriez vous la faire saisir si l’entité prêteuse souhaite en reprendre la possession. Ce problème concerne surtout les véhicule achetés à des particuliers.
Pour vous assurer que le véhicule n’est pas gagé, vous pouvez consulter ce site officiel des autorités australiennes : Personal Property Securities Register (PPSR). Vous aurez besoin du numéro d’identification du véhicule (VIN), c’est-à-dire le numéro du châssis (le numéro de plaque d’immatriculation ou du moteur ne fonctionnent pas). Des frais de 2 $AU s’appliquent (et non 25 $AU comme le proposent d’autres sites).
Vous pouvez également le faire en appelant le 1 300 007 777 (des frais de 7 $AU s’appliquent).
En faisant une recherche via ce système, vous aurez les informations suivantes :
- Les informations d’enregistrement du véhicule ;
- Si le véhicule a été volé (stolen) ou « written off » (pour un véhicule, le plus souvent accidenté, il a été considéré que le coût des réparations était supérieur à la valeur du véhicule ou s’il a été considéré qu’il est trop dangereux de le conduire). Un véhicule qui a été considéré comme « written off » ne peut plus être vendu pour un usage du véhicule. En revanche, il peut être vendu pour ses pièces détachées ;
- Si le véhicule est rattaché à un emprunt qui n’aurait pas été complètement remboursé (si la voiture est gagée donc).
Important : demandez toujours à voir le papier de registration (en vérifiant bien la date d’échéance). Vérifiez aussi que le nom sur la rego correspond au nom du vendeur (avec un papier d’identité), ou, si ce n’est pas le cas, que le vendeur ait bien l’autorisation écrite et signée de vendre le véhicule.
Vérifier l’historique du véhicule
Vous avez la possibilité d’obtenir un historique du véhicule, c’est-à-dire des détails sur le passé du véhicule, le nombre de propriétaires et confirmer le kilométrage (si le kilométrage se réduit au moment d’une vente, c’est qu’il y a eu un problème et que l’odomètre a été trafiqué). Cette démarche est payante (plusieurs dizaines de dollars en général). Vous pouvez éventuellement envisager ce paiement dans le cas où vous êtes vraiment intéressé par un véhicule.
Des pvtistes ont eu une mauvaise expérience et vous donne pas mal de conseils sur notre forum : J’ai testé pour vous, acheter un van avec un « dodgy » RWC.
(80)Commentaires
J'arrive sûrement un peu tard, mais peut-être que cela pourra aider d'autres personnes qui se posent, comme toi, la question.
Pour l'assurance, tu dois pouvoir la prendre lors du transfert de rego, lorsque tu deviens propriétaire du véhicule. Concernant le paiement, tu peux l'établir de façon mensuelle ou tout payer d'un seul coup.
Pour le transfert de rego cela va dépendre de ton état d'immatriculation. Par exemple, dans le NSW tu dois te déplacer au service des transports, contrairement au WA ou tu peux faire le transfert en ligne.
Personnellement, j'ai toujours préféré me déplacer pour pouvoir poser toutes mes questions aux agents et être certaine d'avoir bien effectué l'ensemble des procédures.
J'espère que cela aura pu t'aider. Si c'est possible pour toi, n'hésite pas à faire ton retour d'expérience.
Concernant les péages :
Oui, tu dois pouvoir vérifier en ligne à l'aide de ta plaque d'immatriculation. Pour le NSW : Paying tolls | Transport and motoring | Queensland Government et pour le QLD : Pay for tolls in Brisbane - Linkt
Concernant les amendes de circulation :
Je n'ai jamais été confronté à la situation. Mais une amie, oui. Elle avait reçu un e-mail avec une amende impayée concernant un stationnement irrégulier. Elle avait dû payer une amende (majorée) via internet. Mais je pense qu'elle avait dû recevoir l'amende au préalable par courrier à l'adresse donnée lors de l'achat du véhicule.
J'espère que mon message a pu t'aider dans tes recherches
J'a parcouru le NSW et le QLD en voiture et je ne pense pas avoir pris de toll-road, mais est-ce que quelqu'un sait si il est possible de vérifier en ligne si on doit payer quelque chose? De même pour les amendes de circulation, je ne sas pas si je reçois du courrier à l'adresse ou mon véhicule est immatriculé, peut-on vérifier en ligne si on a eu une amende?
Concernant l'assurance obligatoire (CTP), a quel moment devons nous la prendre (et par conséquent, la payer ?) Lors du transfert de rego ou lors du renouvellement de rego ?
Et est-il préférable de faire le transfert de rego directement dans un "motor registry" en personne, ou sur internet?
Merci beaucoup !!
Pour ma part en 2017, j'ai fait le tour de presque toute l'Australie en 4x4 (sauf Northern territory par manque de temps) avec un permis international et je n'ai eu aucun soucis (mais je ne me suis jamais faite arrêtée non plus lol)
Si tu ne fais que passer pour du tourisme dans ces états, je ne pense pas qu'il faille faire quelque chose d'autre.
Nous avons bien reçu nos permis internationaux. Jusque la tout va bien.
Nous comptons faire le tour de l'Australie avec un 4x4. Selon les états, le permis est valable le temps du visa/PVT (si j'ai bien compris) d'autres états non. Cela veut dire qu'en Victoria et Northern Territory, il faut faire quelque chose de particulier ?
Cordialement
Nous avons acheter un van immatriculé dans le WA donc toutes les démarches se font part courrier.
Le service des véhicules a donc bien reçu notre courrier puisque le suivi postale nous le confirme.
Nous souhaiterons savoir comment se passe le paiement pour la taxe de transfert de véhicule ?
Car l’adresse misent sur les papiers d’achat du van n’est plus la même bois sommes actuellement en Victoria et plus sur Perth, comment faire ?
Si vous pouvez nous aider
Merci d’avance
J'ai une question. Nous partons pour le centre de Darwin à Adélaïde et nous aimerions avoir une assurance remorquage en cas de problème. Celle de AAMI jusqu à 100 km me semble un peu légère.
Avez vous des retours d'expérience ou des assurances à conseiller?
Merci
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