Témoignage : permis de travail ouvert en tant que conjoint (depuis le 30 janvier 2023)
Depuis le 30 janvier 2023 (nouvelle mesure mise en place par le Canada pendant 2 ans uniquement) – Pour pouvoir envisager de demander un permis de travail ouvert en tant que conjoint, le titulaire du permis de travail doit travailler au Canada et avoir un permis de travail de 6 mois ou plus (emploi qualifié ou non).
pvtistes
Peux-tu te présenter ?
Bonjour, je m’appelle Laure, j’ai 34 ans et j’ai commencé mon aventure en PVT au Canada en novembre 2022.
pvtistes
Ton conjoint est-il arrivé en même temps que toi au Canada ? Si oui, peux-tu nous dire comment ça s’est passé ?
Oui, mon mari et moi sommes arrivés en même temps. Il est de nationalité mexicaine mais il n’y a pas besoin de visa pour partir au Canada pour les citoyens mexicains, ils peuvent entrer en tant que visiteur juste avec une AVE. Je le précise parce que je sais que pour certaines nationalités ce n’est pas possible d’entrer au Canada avec juste une AVE, il leur faut faire une demande de visa au préalable.
On arrivait directement depuis le Mexique, on a atterri très tôt à l’aéroport de Montréal (7 h du matin) donc il n’y avait pas d’attente à l’immigration, l’aéroport était vide. Si vous avez la possibilité d’avoir un vol qui arrive dans ces heures-là, ça vous épargnera beaucoup d’heures d’attente !
À l’immigration, les agents étaient très accueillants en général, on est tombés sur quelqu’un qui parlait même espagnol. On m’a demandé la raison de notre visite, un PVT pour moi et un statut de visiteur pour mon mari. On m’a demandé ma lettre d’introduction, mon assurance, mon contrat de mariage (n’oubliez pas de le faire traduire par un traducteur agréé s’il n’est pas en français) et combien d’argent j’avais sur mon compte bancaire, j’ai montré une simple capture d’écran de mon compte sur mon téléphone.
On a demandé à mon mari aussi dans quoi il travaillait et combien d’argent il avait mais j’ai répondu que comme on était mariés, on avait nos comptes joints. On ne lui a pas demandé son assurance, même si on en avait pris une, c’est toujours mieux. Puis on nous a demandé de nous rasseoir. On a eu le permis de travail pour moi et le statut de visiteur pour mon mari en 15 minutes.
Nous sommes finalement sortis de l’aéroport 1 h après notre atterrissage.
On arrivait directement depuis le Mexique, on a atterri très tôt à l’aéroport de Montréal (7 h du matin) donc il n’y avait pas d’attente à l’immigration, l’aéroport était vide. Si vous avez la possibilité d’avoir un vol qui arrive dans ces heures-là, ça vous épargnera beaucoup d’heures d’attente !
À l’immigration, les agents étaient très accueillants en général, on est tombés sur quelqu’un qui parlait même espagnol. On m’a demandé la raison de notre visite, un PVT pour moi et un statut de visiteur pour mon mari. On m’a demandé ma lettre d’introduction, mon assurance, mon contrat de mariage (n’oubliez pas de le faire traduire par un traducteur agréé s’il n’est pas en français) et combien d’argent j’avais sur mon compte bancaire, j’ai montré une simple capture d’écran de mon compte sur mon téléphone.
On a demandé à mon mari aussi dans quoi il travaillait et combien d’argent il avait mais j’ai répondu que comme on était mariés, on avait nos comptes joints. On ne lui a pas demandé son assurance, même si on en avait pris une, c’est toujours mieux. Puis on nous a demandé de nous rasseoir. On a eu le permis de travail pour moi et le statut de visiteur pour mon mari en 15 minutes.
Nous sommes finalement sortis de l’aéroport 1 h après notre atterrissage.
pvtistes
Comment s’est passée votre arrivée ?
En temps normal, je travaille en tant que technicienne de laboratoire mais j’ai décidé de faire un break et j’ai trouvé un petit boulot dans la section bijouterie d’un grand magasin pour le moment. Cependant, les laboratoires recrutent énormément et facilement à cause du fort turnover, il est très facile de trouver du travail dans ce domaine.
D’une manière générale, il est très facile et rapide de trouver un emploi ici (manque de main-d’œuvre) mais ça peut aussi devenir compliqué selon le domaine souhaité.
Par exemple, pour mon mari qui est ingénieur en automatisation, il faut qu’il fasse partie de l’Ordre des Ingénieurs du Québec pour pouvoir exercer en tant qu’ingénieur. Le processus peut être long et coûteux, il doit aussi passer de nombreux examens. Bien qu’il en ait discuté avec plusieurs employeurs et que son domaine recrute beaucoup, il ne peut travailler qu’en tant que technicien pour l’instant.
En conclusion, il est facile de trouver un emploi pas ou peu qualifié et dans certains domaines comme la biologie, certains métiers de la santé, les technologies… Il y a aussi de nombreux domaines peu faciles d’accès malgré une forte demande de main-d’œuvre comme l’ingénierie en général qui demande une certification par la province.
Pour ce qui est du logement, ma sœur étant résidente permanente au Canada, ça a rendu la recherche d’un appartement beaucoup plus simple. Elle a pu vérifier l’état des appartements et aussi s’est portée garante pour nous puisque qu’on ne pouvait pas faire une enquête de crédit.
Nous avons discuté avec le propriétaire et nous avons été très chanceux d’avoir trouvé quelqu’un acceptant nos 4 chats, car avoir des animaux de compagnie peut compliquer les recherches parfois. Aussi, il a accepté de mettre nos deux noms sur le bail bien que mon mari n’était que visiteur.
Pour ce qui est de l’ouverture d’un compte bancaire pour un visiteur, nous n’avons pas essayé mais je ne pense pas que ce soit possible.
D’une manière générale, il est très facile et rapide de trouver un emploi ici (manque de main-d’œuvre) mais ça peut aussi devenir compliqué selon le domaine souhaité.
Par exemple, pour mon mari qui est ingénieur en automatisation, il faut qu’il fasse partie de l’Ordre des Ingénieurs du Québec pour pouvoir exercer en tant qu’ingénieur. Le processus peut être long et coûteux, il doit aussi passer de nombreux examens. Bien qu’il en ait discuté avec plusieurs employeurs et que son domaine recrute beaucoup, il ne peut travailler qu’en tant que technicien pour l’instant.
En conclusion, il est facile de trouver un emploi pas ou peu qualifié et dans certains domaines comme la biologie, certains métiers de la santé, les technologies… Il y a aussi de nombreux domaines peu faciles d’accès malgré une forte demande de main-d’œuvre comme l’ingénierie en général qui demande une certification par la province.
Pour ce qui est du logement, ma sœur étant résidente permanente au Canada, ça a rendu la recherche d’un appartement beaucoup plus simple. Elle a pu vérifier l’état des appartements et aussi s’est portée garante pour nous puisque qu’on ne pouvait pas faire une enquête de crédit.
Nous avons discuté avec le propriétaire et nous avons été très chanceux d’avoir trouvé quelqu’un acceptant nos 4 chats, car avoir des animaux de compagnie peut compliquer les recherches parfois. Aussi, il a accepté de mettre nos deux noms sur le bail bien que mon mari n’était que visiteur.
Pour ce qui est de l’ouverture d’un compte bancaire pour un visiteur, nous n’avons pas essayé mais je ne pense pas que ce soit possible.
pvtistes
Vous êtes ensuite partis faire le tour du poteau, tu as eu un premier refus, peux-tu nous en dire plus ?
Après un mois dans mon nouvel emploi, nous sommes partis au point d’entrée d’Armstrong, à 1 h de la ville de Québec, pour demander un permis de travail ouvert pour mon conjoint.
Nous arrivons à la frontière américaine en voiture, on arrive à un premier guichet, nous demandons simplement à faire le tour du poteau. Les agents ont l’habitude alors il n’y a eu aucun problème. Ils prennent alors nos passeports et vérifient le coffre de la voiture, puis nous demandent d’aller nous garer un peu plus loin et d’entrer dans les bureaux.
Tous les agents étaient très sympas et nous ont demandé de remplir un formulaire avec quelques informations sur nous et notre famille. Ils nous ont juste demandé pourquoi on voulait faire le tour du poteau, ni plus ni moins. Ensuite, ils prennent nos empreintes et une photo avant de nous rendre nos passeports avec un papier de refus d’entrée aux États-Unis. En tout, le processus a été assez long, environ 1 h.
Nous repartons cette fois-ci du côté canadien. Pareil en voiture, on arrive à un premier guichet et on demande à faire un permis de travail ouvert en tant que conjoint. L’agent prend nos passeports et nous demande d’aller nous garer plus loin et rentrer dans les bureaux.
Nous sommes pris en charge très rapidement, l’agent me demande mon permis de travail, nos passeports, le contrat de mariage, mon contrat de travail, les fiches de paie.
D’ailleurs, ici ils ne font pas forcément de contrat de travail, c’est légal. Mais ce que vous pouvez demander à votre employeur c’est un certificat de travail, et encore mieux, une description du poste et des tâches.
L’agent vérifie mon emploi et permis de travail et me dit que mon type de permis de travail ne permet pas de demander un permis de travail ouvert en tant que conjoint mais va quand même vérifier sur le site de l’IRCC car elle sait que les textes changent très souvent.
Elle revient avec l’article sur les conditions pour le PVT qu’elle avait imprimé et me dit qu’il faut avoir un emploi qualifié pour que son conjoint puisse demander un permis de travail ouvert.
Ayant pris nos précautions, nous avions imprimé l’article sur l’élargissement des conditions pour le permis de travail ouvert en tant que conjoint qui dit bien que tous les types de permis sont considérés (sauf pour 2 en particulier mais le PVT n’y figure pas).
Elle a survolé l’article et part demander à ses collègues qui lui confirment que je dois avoir un emploi qualifié.
Nous lui redisons donc qu’il y a eu des modifications depuis le 30 janvier et que l’article sur le PVT qu’elle avait imprimé n’avait pas été mis à jour (effectivement la dernière date de mise à jour était le 19 janvier 2023 alors que celui sur l’élargissement des conditions a été mis à jour au mois de mars)
Nous sommes repartis très frustrés parce qu’on savait que le PVT entrait dans ces nouvelles conditions.
Nous arrivons à la frontière américaine en voiture, on arrive à un premier guichet, nous demandons simplement à faire le tour du poteau. Les agents ont l’habitude alors il n’y a eu aucun problème. Ils prennent alors nos passeports et vérifient le coffre de la voiture, puis nous demandent d’aller nous garer un peu plus loin et d’entrer dans les bureaux.
Tous les agents étaient très sympas et nous ont demandé de remplir un formulaire avec quelques informations sur nous et notre famille. Ils nous ont juste demandé pourquoi on voulait faire le tour du poteau, ni plus ni moins. Ensuite, ils prennent nos empreintes et une photo avant de nous rendre nos passeports avec un papier de refus d’entrée aux États-Unis. En tout, le processus a été assez long, environ 1 h.
Nous repartons cette fois-ci du côté canadien. Pareil en voiture, on arrive à un premier guichet et on demande à faire un permis de travail ouvert en tant que conjoint. L’agent prend nos passeports et nous demande d’aller nous garer plus loin et rentrer dans les bureaux.
Nous sommes pris en charge très rapidement, l’agent me demande mon permis de travail, nos passeports, le contrat de mariage, mon contrat de travail, les fiches de paie.
D’ailleurs, ici ils ne font pas forcément de contrat de travail, c’est légal. Mais ce que vous pouvez demander à votre employeur c’est un certificat de travail, et encore mieux, une description du poste et des tâches.
L’agent vérifie mon emploi et permis de travail et me dit que mon type de permis de travail ne permet pas de demander un permis de travail ouvert en tant que conjoint mais va quand même vérifier sur le site de l’IRCC car elle sait que les textes changent très souvent.
Elle revient avec l’article sur les conditions pour le PVT qu’elle avait imprimé et me dit qu’il faut avoir un emploi qualifié pour que son conjoint puisse demander un permis de travail ouvert.
Ayant pris nos précautions, nous avions imprimé l’article sur l’élargissement des conditions pour le permis de travail ouvert en tant que conjoint qui dit bien que tous les types de permis sont considérés (sauf pour 2 en particulier mais le PVT n’y figure pas).
Elle a survolé l’article et part demander à ses collègues qui lui confirment que je dois avoir un emploi qualifié.
Nous lui redisons donc qu’il y a eu des modifications depuis le 30 janvier et que l’article sur le PVT qu’elle avait imprimé n’avait pas été mis à jour (effectivement la dernière date de mise à jour était le 19 janvier 2023 alors que celui sur l’élargissement des conditions a été mis à jour au mois de mars)
Nous sommes repartis très frustrés parce qu’on savait que le PVT entrait dans ces nouvelles conditions.
pvtistes
La seconde fois était la bonne. Comment ça s’est passé une fois sur place ?
Suite à notre première tentative, plusieurs personnes nous ont conseillé d’aller retenter notre chance au poste de Stanstead, près de Sherbrooke.
Nous y sommes allés une semaine après. Les processus, tant côté américain que canadien, sont les mêmes.
Du côté américain, les agents nous ont demandé ce qu’il s’était passé à Armstrong et nous avons simplement répondu qu’on était venus faire le tour du poteau pour demander un permis de travail pour mon mari mais qu’il nous manquait des documents, et comme on était dans la région de Sherbrooke cette semaine, on est venus essayer à Stanstead. Il n’y a eu aucun problème, l’agent a repris nos empreintes et une photo avant de nous donner notre second refus d’entrée aux États-Unis. Ça a été beaucoup plus rapide cette fois-ci, 15 minutes !
Nous faisons demi-tour, direction les bureaux canadiens où les agents sont extrêmement gentils et empathiques. Nous avons donné les mêmes documents que la première fois, c’est-à-dire mon permis de travail, nos passeports, le contrat de mariage (ou des preuves de votre vie commune si vous n’êtes pas mariés), mon contrat de travail et les fiches de paie (au moins une). L’agent nous a dit qu’il n’y avait aucun problème, qu’elle allait préparer le permis de travail ouvert pour mon mari. Parfait, on est ravis et surtout soulagés !
Puis elle revient 20 minutes pour nous demander ce qu’il s’est passé à Armstrong puisqu’elle a vu qu’on avait déjà fait une demande là-bas. Nous n’avons pas hésité à lui dire ce qu’il s’est réellement passé, que les agents n’étaient pas informés des nouvelles conditions malgré le fait qu’on leur a montré les preuves. Elle était très étonnée puis est repartie.
30 minutes plus tard, elle revient pour prendre les empreintes (prélèvement des données biométriques) et une photo de mon mari.
Puis, nous passons à la caisse pour payer le permis de travail ouvert d’un total de 340 dollars.
C’est donc officiel, depuis le 30 janvier dernier, les conjoints de travailleurs non ou peu qualifiés appartenant à la catégorie FEER 4 ou 5, tout comme les travailleurs qualifiés des catégories FEER 1, 2 et 3, peuvent présenter une demande de permis de travail ouvert (pendant 2 ans) !
Nous y sommes allés une semaine après. Les processus, tant côté américain que canadien, sont les mêmes.
Du côté américain, les agents nous ont demandé ce qu’il s’était passé à Armstrong et nous avons simplement répondu qu’on était venus faire le tour du poteau pour demander un permis de travail pour mon mari mais qu’il nous manquait des documents, et comme on était dans la région de Sherbrooke cette semaine, on est venus essayer à Stanstead. Il n’y a eu aucun problème, l’agent a repris nos empreintes et une photo avant de nous donner notre second refus d’entrée aux États-Unis. Ça a été beaucoup plus rapide cette fois-ci, 15 minutes !
Nous faisons demi-tour, direction les bureaux canadiens où les agents sont extrêmement gentils et empathiques. Nous avons donné les mêmes documents que la première fois, c’est-à-dire mon permis de travail, nos passeports, le contrat de mariage (ou des preuves de votre vie commune si vous n’êtes pas mariés), mon contrat de travail et les fiches de paie (au moins une). L’agent nous a dit qu’il n’y avait aucun problème, qu’elle allait préparer le permis de travail ouvert pour mon mari. Parfait, on est ravis et surtout soulagés !
Puis elle revient 20 minutes pour nous demander ce qu’il s’est passé à Armstrong puisqu’elle a vu qu’on avait déjà fait une demande là-bas. Nous n’avons pas hésité à lui dire ce qu’il s’est réellement passé, que les agents n’étaient pas informés des nouvelles conditions malgré le fait qu’on leur a montré les preuves. Elle était très étonnée puis est repartie.
30 minutes plus tard, elle revient pour prendre les empreintes (prélèvement des données biométriques) et une photo de mon mari.
Puis, nous passons à la caisse pour payer le permis de travail ouvert d’un total de 340 dollars.
C’est donc officiel, depuis le 30 janvier dernier, les conjoints de travailleurs non ou peu qualifiés appartenant à la catégorie FEER 4 ou 5, tout comme les travailleurs qualifiés des catégories FEER 1, 2 et 3, peuvent présenter une demande de permis de travail ouvert (pendant 2 ans) !
pvtistes
As-tu des conseils à donner aux futurs pvtistes qui seront dans ton cas ?
Premièrement, pour ceux qui viennent habiter dans la province de Québec, préférez le point d’entrée de Stanstead si vous le pouvez, c’est plus sûr. Il y a Lacolle aussi près de Montréal mais malheureusement je crois qu’ils ont un système de quotas de permis de travail ouvert alors c’est moins sûr.
Aussi, lorsque vous allez aux frontières américaines, dites aux agents tout de suite que vous voulez faire le tour du poteau (flag pole) ça les rassurera et ils seront bien plus conciliants avec vous.
Pour les conjoints non mariés, essayez d’amener le plus de preuves de vie commune possible.
Si jamais les agents vous refusent le permis de travail ouvert, l’autre option serait de demander une extension du statut de visiteur, ce n’est pas l’idéal mais ça peut être une solution temporaire.
Aussi, lorsque vous allez aux frontières américaines, dites aux agents tout de suite que vous voulez faire le tour du poteau (flag pole) ça les rassurera et ils seront bien plus conciliants avec vous.
Pour les conjoints non mariés, essayez d’amener le plus de preuves de vie commune possible.
Si jamais les agents vous refusent le permis de travail ouvert, l’autre option serait de demander une extension du statut de visiteur, ce n’est pas l’idéal mais ça peut être une solution temporaire.
pvtistes
Pour finir, quels sont tes projets ?
Nous sommes venus au Canada juste le temps du PVT pour découvrir, voyager et avoir une expérience à l’international, c’est toujours très positif.
En revanche, j’ai plus de mal à m’adapter au froid. Nous sommes en avril et il neige encore ! On a également très peu de journées ensoleillées, c’est sûr que passer du Mexique au Canada a été un changement vraiment radical. L’adaptation peut prendre du temps et ça peut parfois être difficile mais je pense quand même que c’est une belle opportunité, il y a tant de choses à découvrir !
Quand mon PVT s’achèvera, nous comptons donc repartir en vadrouille dans un autre coin du monde, peut être au Chili, qui sait ! 😊
En revanche, j’ai plus de mal à m’adapter au froid. Nous sommes en avril et il neige encore ! On a également très peu de journées ensoleillées, c’est sûr que passer du Mexique au Canada a été un changement vraiment radical. L’adaptation peut prendre du temps et ça peut parfois être difficile mais je pense quand même que c’est une belle opportunité, il y a tant de choses à découvrir !
Quand mon PVT s’achèvera, nous comptons donc repartir en vadrouille dans un autre coin du monde, peut être au Chili, qui sait ! 😊
Marie
En PVT au Canada de novembre 2021 à 2023, je répondrai à vos questions avec plaisir. Après un road trip en Amérique latine (Colombie, Bolivie, Pérou, Guatemala), je suis rentrée en France en juin 2024.
On a Working Holiday Visa in Canada from November 2021 to 2023, I will gladly answer your questions. After a road trip in Latin America (Colombia, Bolivia, Peru, Guatemala), I returned to France in June 2024.
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(2) Commentaires
Bonjour ! Merci pour ce témoignage très complet .
Je me posais donc une question : je viens de faire une demande de PVT et si je suis tirée au sort je compte arriver à Montréal début 2025. Mon conjoint est Brésilien et il n’a lui non plus aucun accord de PVT entre son pays et le Canada.
Comment peut-il avoir un visa travail Si l’extension du visa travail ouvert pour conjoint de PVT travailleur non qualifié se termine avant son arrivée ? Sachant que je n’aurai pas d’emploi qualifié…
Je vous remercie 🙂
Bonjour Justine,
Si au moment où tu pars effectuer ton PVT, ton conjoint n’est pas/plus éligible au permis de travail pour conjoint, il lui faudra faire une autre demande de permis pour pouvoir rester au Canada avec toi.
En l’absence d’accord de PVT entre le Brésil et le Canada, il va rester les autres permis plus classiques. Tu trouveras une liste des permis possibles au Canada ici https://pvtistes.net/dossiers/partir-au-canada-toutes-les-options/
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