Localisation
Katoomba, Australie
Profession
Neuropsychologue


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Salut ! Pouvez-vous vous présenter ?
Michel : Salut Pam et salut à tous ! Je m’appelle Michel et j’ai actuellement 30 ans. Je suis diplômé de neuropsychologie depuis 2021 et sillonne maintenant les routes du monde depuis bientôt 3 ans.

On vient ma soeur et moi d’une grande famille de 5 enfants, mais on en est les aînés, elle est plus jeune de presque deux années. J’ai toujours été un féru du voyage depuis tout jeune, j’ai eu la chance d’avoir ma grand-mère qui m’amenait avec elle dès qu’elle partait en voyage ou en vacances quand je n’étais encore qu’un enfant, cela en est probablement devenu la source de mon amour pour celui-ci ! Le Canada et la Tunisie étaient nos deux destinations de prédilection. Ma grand-mère étant d’origine tunisienne et mon parrain habitant au Canada à cette époque, j’y ai même pris l’avion seul pour le rejoindre à 11 ans !

En parallèle des études et du voyage, j’ai aussi été responsable de plusieurs ASBL estudiantine lors de mon parcours universitaire, la gestion d’événements est donc mon petit dada.

Lise : Hello Pamela. Je m’appelle Lise, j’ai 28 ans et je vis et voyage en Nouvelle-Zélande depuis bientôt deux ans.
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Vous avez décidé de partir en Nouvelle-Zélande. Comment cette idée vous est-elle venue à chacun ? Et pourquoi la Nouvelle-Zélande ?
Michel : C’était pour ma part un coup de tête après la rupture avec mon ex. Je voulais voyager et découvrir du pays, des cultures ! J’avais toujours eu l’envie de partir à l’autre bout du monde, mais il me manquait le déclic. Celui-ci est arrivé pile à ce moment-là : il était impossible pour moi de m’installer dans un quotidien ou une routine dite “classique” seul à cette période de ma vie. Je n’en avais pas l’envie du tout. Les choses n’arrivent jamais par hasard j’imagine et il faut savoir suivre son instinct ! Le choix de commencer par la Nouvelle-Zélande s’est fait sur trois points. La nature y est réputée magnifique, je suis un grand fan du Seigneur des Anneaux et un ami à moi y était parti avant le covid et y vit toujours maintenant. Je n’étais donc pas seul pour arriver, la bise à toi Arthur !

Lise : J’ai toujours eu le goût du voyage, mais en particulier le voyage en van. L’idée de cette liberté et vie sans artifice était l’un de mes plus grands rêves. J’ai choisi la Nouvelle-Zélande parce qu’il y a beaucoup de nature et moins de gens. Parce que c’est deux petites îles où la nature est encore bien conservée et protégée de l’homme. Mais aussi parce qu’il y a une diversité incroyable aux niveaux paysages : montagnes, lacs, plages, volcans, forêts tropicales, etc.
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Comment se sont passés vos premiers mois en Nouvelle-Zélande (séparément)?
Michel : Quand je suis arrivé en Nouvelle-Zélande, je ne savais pas encore que ma sœur m’y rejoindrait ! Mon plan en était tout autre et je comptais voyager avec des personnes que j’aurais rencontrées.

En arrivant en mai 2022, c’est mon ami qui m’a accueilli à Queenstown et qui m’avait recommandé mon hostel dans lequel j’ai réservé une chambre deux semaines pour commencer. J’ai directement accroché et pris une chambre “long-term” , on a une vue incroyable sur les montagnes depuis la fenêtre du salon du “Flaming Kiwi”!

Après tous les classiques de la paperasse, j’ai trouvé un boulot assez facilement dû à la fermeture des frontières durant deux ans covid, tout le monde en ville affichait un panneau “we’re hiring”. J’ai donc eu mon interview dans un nouvel endroit en NZ qu’était “Max Brenner”, assez réputé en Australie. Mon niveau d’anglais était pourtant encore médiocre à l’époque, mais j’ai décroché le job !

C’est alors quelques semaines après que ma sœur m’annonçait débarouler à Queenstown en septembre et qu’on s’est dit qu’on pourrait voyager ensemble. J’ai donc économisé et vécu dans ce petit hostel en l’attendant. Je m’y suis fait mes meilleurs amis sur le territoire des hobbits et y ai vécu des moments extraordinaires ! Je suis d’ailleurs toujours en contact avec eux, on se croise dès que l’occasion se présente un peu partout dans le monde et voyage même avec certains d’entre eux actuellement en Australie !


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C’était comment de préparer ce voyage à 2 ?
Michel : Étant sur place et ne voulant pas perdre de temps pour démarrer notre petit road-trip, j’ai commencé à chercher un van avant même que Lise ne soit sur le territoire. Lui montrant chaque petite annonce, voir si elle était intéressée ou non et surtout avoir son avis ! Sachant que je quitterais la NZ avant elle et que je ne conduisais pas à l’époque, c’était surtout sa voiture ! J’ai fini par aller visiter quelques vans avec un ami à moi bon en mécanique qui pouvait me signaler des défauts trop importants s’il y en avait. Je suis une bille en mécanique, son aide m’a été très précieuse ! Une fois la décision prise avec ma sœur, la voiture l’attendait bien au chaud sur le parking de mon hostel avec tout l’équipement nécessaire pour un roadtrip, même la douche solaire ! Je n’avais plus qu’à l’attendre avec ma petite carte comprenant tous les endroits magnifiques à voir et la route à suivre.
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Parlez-nous des premiers moments de votre road trip, a-t-il été facile de s’habituer à ce nouveau quotidien à 2 ?
Michel : Notre première nuit a été très drôle, on n’y connaissait rien et on a fini dans un supposé free camp avec aucune lumière et pas de toilettes. Mais on était à trois voitures, car deux de nos amies nous ont suivies jusqu’à Milford Sound ! Alors oui, on était dans le noir et un silence complet, mais on avait nos amis et du vin autour de la table dans toute cette pénombre. Le lendemain matin, je suis le seul à avoir osé me laver par les 5 degrés affichés sur le thermomètre. J’ai fait chauffer une casserole d’eau chaude et hop, c’était parti ! He oui, le début du printemps peut s’avérer froid de temps en temps dans le sud de l’Île du Sud, mais ça n’a été le cas que sur les premières semaines et ça nous a forgés ! On a même dormi dans la voiture sous la neige une nuit à Dunedin. Quant à notre quotidien à deux, les débuts ont été plus faciles que les dernières semaines, mais on l’a fait et on s’aime toujours 🙂 !

Lise :C’était assez facile de s’habituer à cette nouvelle vie car on est plutôt sur la même vibe avec mon frère. Et, pour ma part, je réalisais enfin mon rêve donc le quotidien avec mon frère n’était pas compliqué du tout au début. On était plus émerveillés et pris par la frénésie de l’aventure.


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À quoi ressemble la vie entre frère et soeur en voiture aménagée ?
Michel : Comme à la maison la plupart du temps ! On ne peut pas être toujours d’accord sur tout, mais on peut être conciliant et patient. Alors oui il y a des hauts et des bas, mais les bas sont bien plus rares ! Enfin… Si vous savez vivre en communauté. Ma soeur et moi étions plus jeunes comme chien et chat. Et cela a duré jusqu’au crépuscule de mes 15 ans où j’ai décidé d’aller vivre seul chez ma grand-mère. C’est quand on s’est retrouvé séparés que nous avons appris à vraiment nous aimer et nous supporter. J’imagine que la maturité y a joué un rôle aussi ! Après quoi nous sommes devenus frères et sœurs presque parfaits ! J’ai bien dit presque… On aurait pu croire que ce retour en vie commune pour 6 mois aurait pu faire remonter le pire du passé en nous, mais non, on s’en est sortis ! Après, je ne vous mentirai pas, on n’a pas toujours été d’accord sur tout et ça a pu amener quelques tensions, mais à force de discussion nous avons pu surmonter ça. Bilan plus que positif donc !

Lise : C’est assez similaire qu’avec un ami. C’est avant tout respecter les barrières de chacun et s’adapter à l’autre. Mais, bien sûr, on a moins de patience avec son frère qu’avec ses amis, donc, parfois, il y a un peu plus d’électricité dans l’air lol.
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Comment vous organisiez-vous au quotidien ?
Michel : Pour les courses, elle et moi avions décidé de faire des comptes séparés. Nous n’avons pas spécialement le même régime alimentaire alors c’était plus simple de faire comme ça ! L’essence était divisée en deux, donc niveau argent nous n’avions aucun problème en ligne de mire. Ensuite chaque soir après le repas, on regardait la carte à deux avec les endroits qu’on voulait voir, les randonnées qu’on désirait faire et les lieux à visiter. Une fois d’accord, je traçais la route sur la carte et voilà comment notre petit quotidien était organisé. Et quand on se plaisait quelque part, on s’y posait quelques jours afin d’y prendre un peu de repos bien mérité.
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Vous sentiez-vous à l’étroit parfois ? Aviez-vous parfois besoin de temps seule ? Comment faisiez-vous ?
Michel : Pas spécialement, même si c’est vrai que la nuit en dormant elle avait tendance à empiéter sur mon espace personnel haha. On vivait la plupart du temps en extérieur et le soir, on lisait notre petit bouquin ou un petit sudoku quand on ne discutait pas ensemble. C’était aussi le moment où on appelait un proche, quand on était posé et que le décalage horaire nous permettait enfin d’être réveillés au même moment. Si je devais choisir un moment où je me suis vraiment senti à l’étroit et où être seul n’était pas possible, c’était lors d’un cyclone sur l’Île du Nord. On s’était réfugiés à Matama et avec cette météo, il ne nous était pas possible de faire grand-chose, la plupart des endroits étaient même fermés ! Là, oui, on s’est bien senti à l’étroit, et quelle galère pour cuisiner avec ce vent !

Sinon lorsque je voulais vraiment être seul, j’avais mon petit rituel d’aller faire une marche ou me poser quelque part sur une plage ou un banc.

Lise : Oui, cela arrive souvent de se sentir à l’étroit dans un van et on manque parfois d’espace. Mais il est aussi facile de prendre des moments juste pour soi quand tu vis sur la route. On faisait beaucoup de randonnées donc c’était assez facile de déconnecter . Puis, il y a toujours l’occasion de se retrouver seul une fois le spot pour la nuit trouvé. Tu peux prendre ta chaise de camping et barouder dans les environs si le besoin s’en fait. Mais même en étant ensemble, on avait nos moments à ne pas se parler et à laisser de l’espace à chacun.
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Quelles difficultés avez-vous rencontrées dans le fait de voyager entre frère et soeur ?
Michel : Et bien le fait d’être conciliant et patient justement ! On est plus vite à l’être avec des amis qu’avec ses frères et sœurs, je trouve, en tout cas pour ma part. Surtout sur le long terme quand les mêmes cas se répètent et qu’une problématique refait surface. C’est quelque chose pour laquelle il faut travailler sur soi-même pour être honnête, même en ayant une très bonne relation avec sa sœur ! Autrement, quand vous dormez dans le même van que votre sœur ou même un ami, c’est plutôt tendu d’avoir des moments d’intimité avec d’autres personnes si vous voyez ce que je veux dire, mais ça ne gâche en rien le voyage !

Lise : Nous avons voyagé et vécu ensemble pendant presque 8 mois. Je pense que même si tu t’entends très bien avec ton frère, c’est assez difficile de partager autant de temps ensemble et en particulier dans les conditions de la vanlife qui demande beaucoup d’organisation et de challenges au quotidien.
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Cette expérience a-t-elle changé votre relation ? Comment ?
Michel : Honnêtement, on était content de reprendre la route seul après 6 mois de cohabitation quand je partais pour Bali. Mais c’est normal, on n’avait pas eu notre intimité pendant une demi-année. On pouvait enfin reprendre notre souffle ! Mais on en est ressorti plus soudés que jamais je dirais ! Et on pourrait être plus prêt pour une deuxième expérience, mais peut-être moins longtemps ou dans d’autres circonstances, à elle de me le dire haha 😀 !

Lise : Oui, définitivement. Nous partageons en plus ce lien du voyage et tous les bons souvenirs associés à celui-ci. Nous sommes passés par quelques moments difficiles mais je dirais qu’ils étaient aussi nécessaires pour notre relation de frère et soeur.


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J’imagine que vous avez des tonnes de beaux souvenirs, vous nous en racontez 2-3 ?
Michel : Vous savez quand vous êtes dans un pays comme la Nouvelle-Zélande où chaque tournant vous coupe le souffle et que vous avez la sensation d’avoir changé de pays tous les 100 km, des beaux souvenirs il n’y a que ça ! Excepté peut-être le jour où on a failli mourir en mer aspiré par une baïne, on a bien appris à les repérer après, mais cette histoire sera peut-être pour une autre fois…

Pour en choisir deux trois comme demandé, le premier qui m’a marqué était quand je vivais encore seul à Queenstown. C’est la première fois que j’ai passé mon anniversaire en hiver ! Tous l’hostel m’avait fait la surprise en rentrant du boulot avec un gâteau et des cadeaux ! L’un d’eux à même joué “Happy birthday” à la cornemuse au moment d’apporter le gâteau. Tout le monde était là, collègues et amis ! Ce n’était que du plaisir !

Sinon notre premier camping avec un feu de camp sur Monkey Creek sur l’Île du Sud. On a rencontré du monde et partagé des bons moments ! Notre amie Audrey était avec nous à ce moment du voyage. Elle nous rejoignait de temps en temps. A la belle étoile sur la plage, de la musique et un verre à la main, c’était le début de notre aventure et ça m’a marqué !

Il y a aussi la fois où on a vu la lune de sang à Motueka ! C’est d’ailleurs lors de cette période qu’on s’est un peu arrêté pour travailler en ferme de kiwis un mois et où on a rencontré des français avec qui on est devenu très bons amis. On travaillait et on vivait alternativement sur deux campings tous ensemble, dont un sur la plage ! C’est d’ailleurs aussi dans cette ville qu’on a rencontré notre Belge Pamela ! C’est lors de cette période où on a entrepris l’expérience du kayak à Abel Tasman. J’ai adoré, même si on a un peu galéré sur une partie du parcours où on était à contre courant et contre vent. Pas sûr que ça ait laissé le même souvenir à ma sœur par contre hahaha.. Mais on se serait vraiment cru sur Koh Lanta ou une histoire pareille ! En arrivant à notre point final on a profité de la plage et on est rentré à pied dans l’autre sens par la randonnée, c’était magnifique à chaque recoin !

Un dernier et sentimental pour la route, c’est quand on a rejoint mes amis à Whangamata, ceux même que j’avais rencontrés en vivant à Queenstown. Ils sont un peu comme ma petite famille néo-zélandaise. On est resté trois semaines avec eux au total. Matt nous a appris à surfer, du moins il a essayé ! Et Tayla nous a invité à goûter ses plats au restaurant où elle travaillait, un vrai délice ! On a passé des soirées mémorables, Tayla et moi ayant perdu à un jeu on a même dû courir nu ensemble jusqu’à la plage ! Qu’est-ce qu’on a ri ! Heureusement, le commissariat de police sur la route était fermé hahaha.

Mais comme dit précédemment, chaque lever de soleil, chaque coucher de soleil… Tout était parfaitement splendide et coloré !

Lise : Honnêtement, j’ai vécu tellement d’incroyables moments ici en Nouvelle-Zélande qu’il est difficile de s’en rappeler un précisément. L’aventure a été folle et belle. C’est définitivement l’expérience la plus magique que j’ai vécu jusqu’à présent et je suis tellement reconnaissante pour toutes ces nuits au ciel étoilé, ces paysages qui te laissent sans voix et ces personnes te marquent à jamais.
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Qu’est-ce que votre PVT vous a-t-il apporté à chacun ?
Michel : Honnêtement, des expériences magnifiques chaque jour ! Que ce soit les randonnées jusqu’au sommet des montagnes où en forêt tropicale, on a essayé d’en dévorer le plus possible tellement on aimait ça ! Et les plages, des magnifiques plages à chaque recoin ! On a même nagé avec des raies dans la French Bay au nord de l’Île du Sud.

Mais le PVT est avant tout une découverte de la culture d’un pays et ça aussi, on en a bien mangé. Certaines choses sont très différentes de chez nous et on peut dire qu’on a été dépaysé ! Et sinon les rencontres, surtout les rencontres en fait ! J’ai rencontré tellement de personnes extraordinaires et humaines, chacun d’entre eux m’a laissé une trace indélébile !

Lise : J’ai rencontré énormément de personnes différentes venues du monde entier. J’ai appris l’anglais, vécu des expériences incroyables, fait des choses pour la première fois. Mais je dirais que la chose que le voyage m’a le plus apporté c’est le partage. Se donner et être complètement là pour les gens et pour nous-même.
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Quels conseils donneriez-vous à des personnes qui hésiteraient à voyager avec son frère / sa soeur ?
Michel : Ça passe où ça casse ! Nous, ça a failli casser à deux reprises, mais on a pu surmonter ça. Tout dépend de la relation que vous avez déjà avec votre frère ou votre sœur et de la maturité que vous aurez pour faire face aux situations. Mais le vrai conseil est plutôt de ne jamais hésiter à voyager ! Saisissez l’opportunité, ça en fera vos plus beaux souvenirs à raconter au coin du feu quand vous aurez du mal à vous lever de votre chaise dans quelques années 😀 !

Lise : Voyager est une expérience incroyable donc si vous avez l’occasion de partager un bout de cette aventure avec une personne de votre famille, foncez ! L’aventure en sera plus folle !
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Et maintenant, quels sont vos projets ?
Michel : Eh bien, j’ai pas mal continué à voyager depuis mon aventure en Nouvelle-Zélande ! Je suis d’ailleurs en ce moment en Australie. A l’heure où je vous parle, Tayla et moi sommes sur le point de commencer notre road trip ! Et oui, elle et moi, nous sommes encore retrouvés sur la route, quelle chance ! Après mon roadtrip en Australie, c’est la Thaïlande qui m’attend. J’ai découvert l’Asie pour la première fois l’an dernier à Bali et au Vietnam. Des amis belges à moi m’ont même rejoint pour chaque destination et l’un d’entre eux revient même avec moi en Thaïlande, hâte de te revoir mon Lars !

Pour le reste du projet, je compte rentrer en Belgique après ça pour voir la famille et les amis, j’ai un filleul qui m’attend avec impatience là-bas et puis rester aussi longtemps sans voir mon petit monde me serait dur ! C’est le prix à payer pour cette vie de voyages, mais il est temps de passer un peu de temps avec eux.

Évidemment l’aventure n’est pas finie ! J’ai décroché mon PVT pour le Canada l’an prochain et je suis également en attente d’équivalence pour mon diplôme afin de pouvoir exercer là-bas. Donc si tout se passe bien, je partirais pour la grand nord blanc entre septembre et novembre selon l’équivalence !

Lise : Dans à peu près un mois, mon aventure en Nouvelle-Zélande se terminera. Et la suite de l’aventure continue en Australie pour un second PVT.
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Un petit mot de la fin ?
Michel : Consommez la vie avant que la vie ne vous consomme ! Au plaisir de vous croiser sur les routes 🙂

Lise : La vie est ce qu’on en fait, on ne regrette jamais d’avoir suivi la voie des ses rêves !



Pamela

Voyageuse belge depuis 2012, j'ai vécu aux USA, aux Bahamas et en Nouvelle-Zélande pendant 5 ans, avant de m'envoler pour l'Australie où je vis actuellement. Je partage avec vous mes meilleurs tips grâce à pvtistes.net et vous accompagne dans votre préparation au départ

Belgian traveler since 2012. I have lived in the USA, the Bahamas in New Zealand for 5 years, before moving to Australia where I now live. I share my best tips with you and I help you prepare for your big adventure.

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