Chapitre 1
Introduction
Chapitre 2
Qu'est-ce que le PVT ?
Chapitre 3
Les différentes façons de vivre son PVT
Chapitre 4
Destination Nouvelle-Zélande
Chapitre 5
Quelque conseils pour une bonne préparation
Chapitre 6
La demande de PVT en ligne
Chapitre 7
Une fois le PVT en main : commencer les préparatifs
Chapitre 8
Comment choisir son assurance ?
Chapitre 9
Avant de s’envoler : encore quelques démarches
Chapitre 10
Le passage de la douane néo-zélandaise
Chapitre 11
Les démarches auprès du ministère des Affaires étrangères
Chapitre 12
Ouvrir un compte en banque et transférer son argent
Chapitre 13
La demande du numéro IRD
Chapitre 14
Téléphoner et avoir accès à Internet
Chapitre 15
Trouver un logement
Chapitre 16
Faire ses courses
Chapitre 17
Le travail : un autre pays, des codes différents
Chapitre 18
Le marché du travail néo-zélandais
Chapitre 19
Les impôts
Chapitre 20
Chercher un emploi
Chapitre 21
Le travail saisonnier : fruit picking, saison de ski...
Chapitre 22
Le tourisme, l’hôtellerie et la restauration
Chapitre 23
Le volontariat (WWOOFing, HelpX, Workaway)
Chapitre 24
Achat et location d’une voiture ou un van
Chapitre 25
Les transports en commun
Chapitre 26
Faire du stop ou du covoiturage
Chapitre 27
Équiper son van
Chapitre 28
Camper / Se loger sur la route
Chapitre 29
Rester propre, laver ses vêtements, faire la vaisselle
Chapitre 30
La culture et la société néo-zélandaise
Chapitre 31
Nature et sports de plein air
Chapitre 32
Les lieux incontournables
Chapitre 33
Les lieux de tournage
Chapitre 34
Un souci de santé : comment se soigner ?
Chapitre 35
Sécurité
Chapitre 36
Un coup de déprime ou des soucis financiers : que faire ?
Chapitre 37
Les formalités avant de quitter la Nouvelle-Zélande
Chapitre 38
Prolonger son séjour en Nouvelle-Zélande
Chapitre 39
Les formalités administratives en rentrant
Chapitre 40
Le retour après un PVT, des sentiments contrastés
Chapitre 41
Repartir avec un autre PVT
Chapitre 42
Conclusion
Chapitre 43
Répertoire des sites importants
9Avant de s’envoler : encore quelques démarches

Lorsqu’on quitte son pays pendant un an, il y a quelques obligations à bien respecter pour se protéger à son retour et pour être dans la légalité. Prenez le temps de faire ces démarches rapides grâce auxquelles vous partirez serein en Nouvelle-Zélande.

Vos droits et devoirs

Pour les Français

La Sécurité sociale

Si vous prévoyez de partir pendant plus de 6 mois en Nouvelle-Zélande, vous devez en principe informer votre centre de Sécurité Sociale car, et vous perdrez vos droits (à moins de vous inscrire, comme nous vous l’avons expliqué précédemment, à la CFE qui maintient vos droits pendant votre séjour à l’étranger). Si, comme la majorité des pvtistes, vous faites le choix de ne pas vous affilier à la CFE, ne vous inquiétez pas, vous avez différentes options pour retrouver vos droits à votre retour ou pour ne pas les perdre.

Pendant votre PVT en Nouvelle-Zélande, vous êtes couvert par l’assurance voyage obligatoire qui couvre la maladie, l’hospitalisation et le rapatriement. Vous n’avez donc pas besoin d’être couvert par la Sécurité sociale.

À votre retour en France :

      • Vous trouvez un emploi : vous retrouvez vos droits dès que vous travaillez une heure en France (emploi déclaré).
      • Vous êtes reconnu comme demandeur d’emploi (vous aviez ouvert des droits au France Travail et les aviez suspendus avant votre départ) : en les rouvrant à votre retour, vous retrouvez également vos droits à la Sécurité sociale.
      • Vous ne trouvez pas d’emploi, n’êtes pas inscrit comme demandeur d’emploi et avez plus de 25 ans, vous pourrez, 3 mois après votre retour en France, bénéficier de la Protection Universelle Maladie (PUMa) à titre de résident.

Si vous n’êtes pas sûr de rester plus de 5 mois à l’étranger, vous pouvez ne contacter la Sécurité Sociale qu’une fois ces 5 mois atteints pour les prévenir de votre séjour longue durée à l’étranger. Cette astuce peut être intéressante pour ceux qui, on ne vous le souhaite pas, rentreront prématurément (économies épuisées, souci personnel…).

Dans ce cas, si vous rentrez après 3 mois par exemple, vous n’aurez aucune démarche à faire pour rouvrir vos droits puisqu’ils n’auront pas été fermés.

France Travail

Vous ne pouvez pas bénéficier de l’allocation chômage pendant que vous êtes en Nouvelle-Zélande, même si vous cherchez un emploi. Voici ce qu’il convient de faire, que vous soyez au chômage, que vous soyez licencié ou que vous démissionniez. Si, au moment de partir en Nouvelle-Zélande, vous avez des droits auprès de France Travail, il suffit de les suspendre en précisant que vous partez pendant une année à l’étranger.

À votre retour, ces droits seront rouverts. Notez qu’ils peuvent être suspendus pendant 3 ans (+ la durée de vos droits) au maximum.

      • Démission

En cas de démission, vous n’avez pas droit à l’allocation chômage, sauf dans certains cas listés par France Travail.
Dans le cas où vous ne pouvez pas bénéficier d’une allocation, au moins 4 mois après votre démission, vous pouvez demander à France Travail de réexaminer votre situation, par exemple à votre retour de Nouvelle-Zélande.

      • Licenciement, fin de CDD ou rupture conventionnelle

Si vous êtes licencié, si votre CDD se termine ou si vous signez une rupture conventionnelle, inscrivez-vous à France Travail dès la fin de votre contrat. Au moment de partir pour la Nouvelle-Zélande, vous procéderez à la suspension de vos droits, que vous retrouverez à votre retour en France, pour bénéficier des allocations chômage.

12 mois pour s’inscrire ! Si vous ne vous inscrivez pas à France Travail dans les 12 mois qui suivent la fin de votre contrat de travail en France, vos droits seront perdus. L’inscription, suivie de la suspension de vos droits est donc la meilleure des solutions pour rentrer en France sereinement. Pensez que parfois, le voyage appelle le voyage.

Même si vous partez dans l’idée de ne rester que quelques mois en Nouvelle-Zélande, vous envisagerez peut-être de faire un autre PVT ailleurs ou pourquoi pas un tour du monde. Ne prenez pas le risque de perdre vos droits uniquement parce que vous ne prévoyez qu’un voyage de 6 mois, on ne sait pas ce qui peut arriver !

S’actualiser sur Internet ou par téléphone en demandant à un proche de le faire à votre place pour continuer à toucher vos indemnités en Nouvelle-Zélande est un délit. Vous risquez de perdre vos droits, de vous acquitter d’une amende de 30 000 euros et de devoir rembourser l’intégralité des allocations que vous auriez perçues. Si vous avez un budget trop serré, il vaut mieux travailler quelques mois de plus pour pouvoir mettre suffisamment d’argent de côté. Le PVT vous donne une grande liberté : vous avez un an pour partir, rien ne vous presse !

Les autres organismes

Si vous bénéficiez d’allocations comme les APL ou si vous touchez le RSA, vous devez obligatoirement prévenir les organismes concernés que vous partez à l’étranger. Vous ne pouvez pas bénéficier de ces aides en n’étant pas sur le territoire français et, à nouveau, vous risquez de devoir rembourser les allocations que vous auriez perçues illégalement.

Le centre des impôts

Vous devez informer votre centre des finances publiques de votre changement d’adresse. Vous pourrez fournir l’adresse d’un membre de votre famille ou d’un ami pour recevoir votre courrier, notamment votre formulaire de déclaration annuelle, si vous ne savez pas encore où vous résiderez en Nouvelle-Zélande et pour combien de temps. Si vous avez des revenus imposables, vous devrez, au moment de la déclaration d’impôts française, remplir deux déclarations : l’imprimé 2042 avec vos revenus du 1er janvier à votre date de départ en Nouvelle-Zélande et l’imprimé 2042-NR avec vos revenus de source française uniquement de votre date de départ au 31 décembre. Si ces revenus sont égaux à 0, il faut l’indiquer dans la case « Renseignements ». Pour plus d’informations, consultez le site Internet des Finances publiques.

Pour les Belges

La mutuelle

Vous n’avez pas d’obligation de garder ou de suspendre la mutuelle. Attention, cela concerne uniquement les pvtistes âgés de plus de 25 ans ou les pvtistes ne vivant plus avec leurs (ou un de leur) parents. Si vous avez moins de 25 ans ET vivez toujours avec au moins un de vos parents, vos cotisations sont incluses dans celles de vos parents. Il faut savoir qu’il y a un délai de carence en cas de réinscription à votre retour, délai pendant lequel la mutuelle n’interviendra pas en cas de maladie ou d’hospitalisation. Vous pouvez tout à fait payer vos cotisations de mutuelle et garder vos droits pendant votre année de PVT (elles sont relativement peu élevées).

Ainsi, lorsque vous rentrerez en Belgique (par exemple en cas de retour prématuré), vous serez couvert par la mutuelle, comme si vous n’étiez pas parti. Il faut savoir que si vous continuez à payer votre mutuelle en Belgique, elle ne vous assure pas à l’étranger ! N’oubliez donc pas de souscrire à une assurance voyage !

Le chômage

      • Forem / Actiris / VDAB / ADG

Quelle que soit votre situation professionnelle avant de partir en PVT, il est important de s’être inscrit en tant que demandeur d’emploi auprès du Forem. Que vous quittiez un CDI, finissiez un CDD, terminiez des études, inscrivez-vous le plus vite possible. Et ce, même si vous partez quelques jours après votre inscription !

Ensuite, avant votre départ (la veille de préférence), vous devrez simplement signaler votre changement de situation via votre compte Forem en ligne.

N’hésitez pas à contacter le service de Mobilité internationale du Forem qui vous accompagne dans votre projet de mobilité hors Europe.

Renseignez-vous en fonction de votre région :

      • Région wallonne : Forem
      • Région de Bruxelles-Capitale : Actiris
      • Région flamande : VDAB
      • Communauté germanophone : ADG

 

      • CAPAC ou syndicats

Prévenez votre organisme de paiement (CAPAC ou syndicat), de votre changement de situation quelle que soit votre situation actuelle.

      • Si vous finissez vos études ou un stage d’insertion : vos expériences professionnelles en PVT pourraient être prises en compte dans votre stage d’insertion.
      • Si vous travaillez avant votre PVT : cela vous permettra d’ouvrir vos droits au chômage. Allez-y donc même si vous quittez un CDI.
      • Si vous touchez une allocation avant votre PVT (même 1 seul jour) : vous pourrez geler vos droits de chômage pendant 3 ans.

 

      • Au retour

Inscrivez-vous à nouveau comme demandeur d’emploi au Forem / Actiris / VDAB / ADG dans les 8 jours suivant votre retour. Retournez également le plus tôt possible à la CAPAC ou à votre syndicat afin de vous y réinscrire.

      • Si vous étiez étudiant et / ou en stage d’insertion avant votre PVT : vos expériences professionnelles à l’étranger pourraient être prises en compte et vous donner ainsi droit à une allocation d’insertion.
      • Si vous perceviez une allocation (même un seul jour) avant votre départ : vos droits ont été gelés (pendant 3 ans) et vous pouvez simplement réintroduire une demande d’allocation.
      • Si vous ne perceviez pas d’allocations : vos expériences à l’étranger ne vous donnent pas accès au chômage mais vous facilitent toutefois le processus en prolongeant votre période de référence.

Pour plus de détails, consultez notre dossier : Le retour en Belgique après un PVT.

La commune

La domiciliation en Nouvelle-Zélande étant impossible en PVT, vous devez avoir une adresse en Belgique chez un parent ou un proche, par exemple. Pour la durée du PVT, inutile de se désinscrire de sa commune. Il vaut mieux par contre signaler son absence. Attention toutefois, l’absence temporaire ne peut pas durer plus d’une année suite à la déclaration. Elle peut être renouvelée une fois sur déclaration, ce qui permet au final d’être en absence temporaire pendant deux ans au maximum.

Le centre des impôts

Il est obligatoire de renseigner les revenus que vous aurez eus en Nouvelle-Zélande au moment de faire votre déclaration d’impôts en Belgique, même si vous les déclarez aussi en Nouvelle-Zélande. Il existe en effet un accord bilatéral entre les deux pays qui permet d’éviter une double imposition. Pour plus d’informations, consultez ce document PDF du site du gouvernement belge et cet article sur la déclaration d’impôts en Belgique. Le fait de déclarer vos revenus néo-zélandais en Belgique permet également que ces revenus soient pris en compte pour la pension.

Pour les Canadiens

Votre régime de santé provincial ou territorial

Vous ne serez pas couvert par votre régime de santé provincial ou territorial pendant votre séjour en Nouvelle-Zélande. Certains frais mineurs pourront exceptionnellement être couverts selon les provinces et les territoires, mais resteront très modestes et vous ne bénéficierez d’aucune avance. En outre, vous n’aurez plus de régime de santé si vous partez plus de 6 ou 8 mois selon les provinces et les territoires.

Pour ces raisons, le gouvernement canadien vous encourage à souscrire une assurance de remplacement qui vous permettra d’avoir une offre de protection intégrale quand vous ne serez plus admissible à un régime canadien. Avant votre départ, pensez donc à contacter le régime de santé de votre province ou de votre territoire pour les prévenir de votre départ. À votre retour, vous devrez présenter une demande de rétablissement de votre régime d’assurance maladie provincial ou territorial.

Attention, il pourrait y avoir un délai de carence pour en bénéficier de nouveau.

Les impôts

Quand vous partez plusieurs mois (ou années) à l’étranger, votre statut fiscal peut être de 4 types : résident de fait, résident réputé, non résident ou non résident réputé. Avant votre départ, pensez à contacter l’Agence du revenu du Canada (ARC) pour déterminer quel sera votre statut au niveau des impôts fédéraux au Canada et faire le point sur les démarches que vous aurez à accomplir (ou non) dans l’année auprès de cette agence. Si vous ne touchez aucun revenu au Canada, notez que votre Numéro d’Assurance Sociale reste activé pendant une période maximale de 5 ans.

L’assurance-emploi

Au Canada, lorsque vous perdez votre travail (entre autres situations), vous êtes éligible à l’assurance-emploi. Lorsque vous partez en PVT, vous ne pouvez pas continuer à toucher cette aide financière et des contrôles sont régulièrement effectués par les autorités canadiennes.

Votre logement, vos affaires, votre voiture

La plupart des pvtistes décident de rendre leur appartement (dans ce cas, attention au préavis !). Vous pouvez aussi opter pour une sous-location : vous n’êtes pas obligé de déménager toutes vos affaires et vous êtes certain de retrouver votre appartement en rentrant. Attention cependant à faire les choses dans les règles !

En France, voici ce que dit la loi : « Selon l’article 8 de la loi du 6 juillet 1989, vous avez tout à fait le droit de sous-louer votre logement, à condition d’obtenir l’accord écrit du bailleur (votre propriétaire) et que le prix du loyer de votre sous-locataire ne soit pas plus élevé que celui que vous payez réellement. »

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à contacter l’Agence nationale pour l’Information sur le Logement.

En Belgique, il n’est pas possible de sous-louer complètement un logement. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter cette page du site Belgium.be. Au Québec, vous avez le choix entre une cession de bail (si vous ne comptez pas reprendre votre logement) ou une sous-location. Pour cette seconde option, il est essentiel d’avoir l’accord du propriétaire.

Pour en savoir plus, vous pouvez consulter cette page du site Educaloi.

Ailleurs au Canada, tournez-vous vers l’organisme gouvernemental de votre province ou territoire, en charge du logement. Retrouvez ces informations sur le site Internet de la Société canadienne d’hypothèque et de logement.

Pour entreposer vos affaires, à défaut de trouver une petite place dans le garage d’un ami ou de la famille, vous pouvez vous renseigner auprès d’entreprises proposant des garde-meubles.

Vous aurez aussi à payer une assurance pour vos biens stockés. Seul problème : ce n’est jamais donné ! Si vous avez un véhicule, vous pouvez soit le vendre, soit trouver une solution plus originale, comme le louer pendant votre séjour !

Si vous gardez votre véhicule sans le louer ou le prêter, sachez que la plupart des assurances proposent des contrats “garage” ou “véhicule au repos”, moins chers qu’un contrat classique mais protégeant tout de même votre véhicule contre le vol ou d’autres risques.

Résilier vos abonnements

Si vous n’êtes plus sous engagement, il est très facile de mettre fin à votre abonnement téléphonique ou Internet : il suffit d’appeler le service concerné de votre fournisseur. Pour votre téléphone portable, si vous êtes encore sous engagement, vous pouvez toujours demander à votre fournisseur une suspension de ligne. Pendant un an, vous allez seulement payer le maintien de votre ligne (généralement de 3 à 5 euros par mois) mais plus votre abonnement. Comme ça, en rentrant, vous réactivez votre ligne, retrouvez votre numéro et votre abonnement.

Attention : la suspension payante de votre forfait n’est pas prise en compte dans votre durée d’engagement. Si vous comptez résilier votre abonnement en étant encore sous engagement, attendez-vous à ce que ce soit compliqué ! Pourtant, vous êtes dans votre bon droit, puisque si vous pouvez prouver que vous partez vivre à l’étranger (grâce à votre PVT), votre fournisseur doit résilier votre contrat. Seulement, il arrive que des fournisseurs de téléphonie ne se contentent pas de votre billet d’avion ou de votre visa néo-zélandais et exigent un bail ou un contrat de travail (que vous ne pourrez évidemment avoir qu’une fois sur place !)

Notez que c’est abusif : ils devraient se contenter du billet d’avion et de la lettre d’acceptation de votre Working Holiday Visa en Nouvelle-Zélande.

Insistez, rappelez un autre conseiller, et si la situation ne s’arrange vraiment pas, contactez la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) en France, le service de médiation pour les télécommunications en Belgique et le Commissaire aux plaintes relatives aux services de télécommunications au Canada.

Si vous n’avez pas le temps de vous lancer dans de longues démarches, vous pouvez toujours « mettre en sommeil » votre ligne, et recommencer les négociations une fois que vous aurez obtenu un contrat de travail ou un bail. Une autre solution serait de passer à un forfait moins coûteux ou encore à un forfait prépayé sans engagement. De cette façon, vous conservez votre numéro de téléphone à moindre coût.

Faire un bilan de santé

Votre assurance ne vous couvrira en Nouvelle-Zélande qu’en cas de maladie ou d’urgence. Pour toutes les visites de contrôle, la consultation sera de votre poche ! Profitez donc des quelques semaines qu’il vous reste avant de partir pour faire un check-up de santé en France, en Belgique ou au Canada. Pour les Français, la sécurité sociale propose de passer un bilan de santé gratuit (appelé “Examen de prévention en santé”, une fois tous les 5 ans et dans certaines régions. Renseignez-vous sur Ameli.fr !.

La Belgique comme le Canada ne semblent pas proposer ce service aux personnes de moins de 45 ans.

Le dentiste

Afin d’éviter les visites en urgence pour grosse douleur pendant votre séjour, autant aller faire vérifier votre dentition avant de partir. Un petit détartrage et le traitement de vos éventuelles caries vous permettront de partir l’esprit tranquille, sans risquer la rage de dents. Veuillez noter que les soins dentaires sont généralement peu ou mal pris en charge par les assurances voyage (et seulement pour des cas d’urgence la plupart du temps). Une autre raison suffisante pour aller chez le dentiste avant le départ !

L’ophtalmologue

Si vous portez des lunettes (ou que vous craignez de devoir en porter) ou des lentilles, une visite chez l’ophtalmologue avant de partir vous permettra de contrôler votre vue, et éventuellement d’avoir une paire de lunettes neuves si elle a changé. N’oubliez pas d’apporter avec vous votre ancienne paire, ça peut toujours dépanner !

Le gynécologue

Il est nécessaire d’aller chez le gynécologue (ou chez une sage-femme ou un médecin généraliste pratiquant la gynécologie) au minimum une fois tous les deux ans pour une visite de contrôle. Si vous prenez un moyen de contraception, expliquez à votre gynécologue que vous partez pendant longtemps. Bien souvent, les ordonnances ne sont valables que pour trois mois. Certains gynécologues acceptent de faire une prescription en indiquant au pharmacien de vous donner le stock nécessaire pour un an de contraception.

D’autres sont même d’accord pour vous en prescrire jusqu’à 15 mois ! À noter que dans ce cas, la sécurité sociale française peut, parfois mais rarement, ne rembourser que les trois premiers mois (en cas de pilule remboursée) et le pharmacien peut également ne pas vouloir vous donner directement la totalité de la prescription. Une solution qui s’offre à vous est de confier votre ordonnance à un membre de votre famille qui pourra vous envoyer votre boîte tous les 3 mois.

Pour en savoir plus, consultez la discussion Comment obtenir sa pilule pour un an ? de notre forum. Plus généralement, nous avons consacré un dossier à la question de la contraception et de l’IVG dans les pays du PVT.

Une visite chez le généraliste : vaccins, traitements longue durée, etc.

Si vous avez des traitements habituels, des problèmes de santé récurrents (par exemple des allergies annuelles), faites-vous prescrire vos médicaments et achetez tout ce qu’il faut avant de partir. N’oubliez pas d’emporter les ordonnances en cas de contrôle à la frontière. Une fois sur place, vous ne verrez plus vos médecins habituels, les médicaments ne seront pas forcément les mêmes et, surtout, le remboursement ne sera peut-être pas aussi simple à obtenir.

S’il s’agit d’une maladie connue avant votre départ, vous pourriez n’obtenir aucun remboursement, sauf si vous avez souscrit à une assurance spécifique (comme la CFE pour les Français, par exemple). Un petit tour chez le généraliste avant de partir vous permettra de régler ces questions diverses et de mettre à jour d’éventuels vaccins.

Même si vous n’êtes pas certain de visiter d’autres pays pendant votre séjour à l’étranger, nous vous recommandons de vous renseigner sur le site de l’Institut Pasteur sur les vaccins à faire selon les pays. Notez que la vaccination de voyage n’est généralement pas remboursée par l’assurance maladie. Votre mutuelle complémentaire peut parfois vous en rembourser une part. Souvenez-vous enfin que votre assurance voyage ne couvrira ni les vaccinations, ni un traitement préventif contre le paludisme, par exemple, puisqu’ils ne sont pas constitutifs d’une maladie ou d’un accident.

Apporter votre argent

Dans le cadre du PVT, le gouvernement néo-zélandais exige que tous les participants aient à leur disposition 4 200 $ au minimum. Si vous n’avez pas de billet retour, vous devez disposer d’une somme supplémentaire pour vous en acheter un. Une preuve de ressources pourrait vous être demandée à votre arrivée.

Il n’est pas nécessaire, ni même recommandé, d’emporter tout votre argent en espèces avec vous.

Cependant, vous aurez besoin d’une certaine somme d’argent pour gérer les premières dépenses à votre arrivée, par exemple pour payer un bus, une nuit dans une auberge de jeunesse ou un repas mais également pour entamer des démarches plus importantes telles que la recherche d’un appartement.

L’argent liquide

Vous pouvez choisir l’option la moins chère mais également la plus risquée : l’argent liquide. La moins chère car c’est celle qui inclut le moins de frais.

La plus risquée car en cas de perte ou de vol, vous n’avez aucun recours. Si vous optez pour l’argent liquide, veillez à garder précieusement votre argent sur vous, dans une poche intérieure ou dans une poche cousue, par exemple.

Le virement bancaire

Pour virer une importante somme d’argent, vous pouvez opter pour le virement bancaire. Vous devrez au préalable ouvrir un compte en Nouvelle-Zélande puis organiser votre virement depuis là-bas. N’hésitez pas à discuter de cette possibilité avec votre banquier avant votre départ pour connaître les coûts et les délais. Notez que les banques effectuent de plus en plus de contrôles lors d’un ajout de bénéficiaire dans le cadre de virements par Internet.

Par exemple, certaines banques françaises imposent une vérification par courrier ou par SMS (sur un numéro français) pour tout ajout d’un nouveau bénéficiaire. Pensez à demander à votre banquier quels peuvent être ces contrôles et comment en contourner certains (une fois en Nouvelle-Zélande, vous n’aurez sans doute plus votre numéro français et recevoir un courrier pourrait vous faire perdre du temps alors que vous avez besoin de faire un virement rapidement). Nous invitons les Belges et les Canadiens à se renseigner sur ce point également.

Le transfert d’argent

Des entreprises (autres que votre banque) proposent d’effectuer pour vous des transferts d’argent à l’international. Renseignez-vous, notamment auprès de notre partenaire Wise, qui peut organiser, en quelques jours seulement, un transfert d’argent de votre compte français, belge ou canadien à votre compte néo-zélandais (que vous devrez donc ouvrir dès que possible) à un taux de change très intéressant. Pour en savoir plus : Wise : premier transfert d’argent international sans frais.

La carte de crédit

Enfin, vous pouvez choisir de ne partir qu’avec votre carte de crédit, ce qui est plutôt pratique si vous ne savez pas précisément quelles dépenses vous serez amené à faire. Mais cette option a des limites qu’il faut bien avoir à l’esprit avant de partir pour éviter les mauvaises surprises. La plus mauvaise est sans doute de se retrouver dans l’incapacité de retirer de l’argent car la somme maximale imposée par votre banque a été atteinte.

En effet, les banques fixent un plafond de retrait à ne pas dépasser et à l’étranger, il n’est pas très élevé. Pensez bien à consulter ce plafond avant de partir ou éventuellement, à changer de carte pour avoir droit à un plafond plus élevé. Assurez-vous que votre carte de paiement reste valide pendant toute la durée de votre séjour. Renseignez-vous également sur les sécurités mises en place par votre organisme bancaire concernant les achats en ligne : à moins de garder votre carte SIM active et de l’emporter avec vous en Nouvelle-Zélande, vous ne pourrez plus recevoir de codes de vérification sur votre ancien numéro. Il est également judicieux de prévenir sa banque avant de partir en Nouvelle-Zélande afin que vos retraits, sans doute réguliers et peut-être assez élevés en début de séjour, ne soient pas assimilés à un piratage de carte de crédit et que celle-ci ne soit bloquée.

Intéressez-vous également aux frais de retrait qui s’ajouteront au taux de change parfois peu avantageux des banques, car si vous multipliez les retraits d’argent, cette option pourra s’avérer la plus dispendieuse. Privilégiez au maximum le retrait de montants élevés pour éviter de multiplier les frais : à un frais fixe s’ajoute généralement un pourcentage de la somme retirée. Dès que votre compte en banque sera ouvert, vous pourrez procéder à un virement depuis votre compte français, canadien ou belge. Nous vous donnons plus de détails sur la démarche à suivre dans la partie La Nouvelle-Zélande, enfin ! de ce guide.

Les cartes pour voyageurs

Certaines banques, telles que BoursoBank (et même Wise), vous proposent des cartes bancaires pour voyageurs qui vous permettent de faire des paiements et de retirer de l’argent partout dans le monde gratuitement ou à des taux très bas. Cela vous donne donc un accès facile à votre argent en attendant d’ouvrir votre compte en Nouvelle-Zélande. Cela est également pratique si vous décidez de voyager dans d’autres pays avant ou après votre PVT.

Avec notre bon plan BoursoBank, vous obtiendrez une prime de bienvenue pour l’ouverture d’un compte. Pour en savoir plus et pour bénéficier de l’offre, consultez notre page BoursoBank.

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(48) Commentaires

Anonyme I |

Bonjour,
Je vois qu’il n’y a pas eu de commentaires depuis un moment, je tente quand même.
J’aurai 55 ans en juillet et j’envisage d’aller en NZ cet été ou à l’automne.
J’aurais aimé prendre un visa tourisme-travail ne sachant pas quelle durée de séjour je vais avoir.
Est-ce possible ?
Sinon, puis-je démarrer par un visa tourisme et le transformer en visa travail si j’trouve un job sur place pour prolonger mon séjour ?
Un grand merci d’avance pour votre réponse,
Nathalie

Juliadf I |

Bonjour, pour avoir le visa working Holliday il faut avoir maximum 31 ans.

Anaïs I |

Bonjour, est-il possible de commander ce guide en livre? Merci pour votre réponse!

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Marie I |

Bonjour Anais,
Malheureusement non, nous ne proposons pas actuellement une version papier de ce guide.

Shana I |

Bonjour,
Mon compagnon et moi même comptons partir en PVT en nouvelle Zélande l’année prochaine, dans un éventuel espoir de poursuivre sur une demande de visa permanent. Seule hombre au tableau, si pour ma part j’aurais 26 ans, Mon compagnon lui en aura 30. Nous savons que ça sera la limite pour obtenir un PVT, mais quand sera t il pour un visa permanent étant donné qu’il fêtera ses 31 ??!
Nous sommes inquiets de voir notre rêve s’effondrer ?… si vous avez une réponse ? Merci !

Marie I |

Bonjour Shana,
Il n’y a pas de limites d’âge à 30 ans pour la résidence permanente…
Quand il y a une limite d’âge, celle-ci est généralement de 55 ans. Information que vous pouvez trouver sur le site de l’immigration néo-zélandaise quand vous cherchez des informations sur la résidence permanente en Nouvelle-Zélande en regardant les différentes options possibles 😉 (https://www.immigration.govt.nz/new-zealand-visas/options/live-permanently/all-resident-visas).

Charline I |

Bonjour,

J’ai passé les douanes sans faire valider mon visa. (Non volontaire bien sûre, tout est allé vite j’avais sortie tous les papiers pourtant bref s’est arrivé). Quel moyen pour faire valider mon pvt? Je pensais aller voir à l’aéroport demain.

Merci Charline

Marie I |

Saut Charline,
Tu as validé ton visa automatiquement à ton arrivée :). Pas besoin d’aller à l’aéroport.

Charline I |

Ah merci !!

Renaud I |

Bonjour,
Le 24 septembre 2018, je vais avoir 31ans.
Je suis français et je suis en train de faire ma demande de WHV pour la Nouvelle-Zélande.
Ma question est la suivante:
Si je reçois ma confirmation de WHV avant le 24 septembre prochain, cela veut dire que je pourrais arriver en NZ jusqu’au 23 septembre 2019 et donc profiter de mon voyage jusqu’au 23 septembre 2020?
Merci d’avance pour vos retours.
Renaud

Marie I |

Salut Renaud,

Oui, c’est ça.
Alors ensuite, cela dépend de ton âge. Si tu n’as pas encore 30 ans, autant demander ton PVT Nouvelle-Zélande quand tu es vraiment près à partir, quelques mois avant ton départ envisagé.
Les choses sont un peu différentes si tu vas bientôt avoir 31 ans. En effet, dans ce cas, fait-le relativement rapidement. Si c’est ton cas, et que tu veux attendre le dernier moment pour faire ta demande, il y a deux choses à prendre en compte :
– Le décalage horaire : si tu fais ta demande la veille de tes 31 ans, fais très attention car ils tiendront compte de l’heure néo-zélandaise. Ainsi, si tu fais ta demande en soirée, la veille de tes 31 ans, on sera déjà le lendemain avec le décalage horaire et tu seras alors trop vieux.
– La durée du trajet : tu arriveras automatiquement le lendemain de ton départ. Cela signifie donc que tu ne dois pas partir, dans ton exemple, le 23 septembre

Enfin, je te recommanderais de ne pas attendre le tout dernier jour pour prendre ton visa, ou partir : il peut y avoir des soucis techniques sur le site de l’immigration, une maintenance ou des choses de ce type. Idem, il peut y avoir des éléments extérieurs qui pourraient t’empêcher d’arriver au bon moment (annulation de vol, tempête, retards de vol, tu te blesses juste avant le départ).

Renaud I |

Salut Marie,
Et bien super!!!
Merci beaucoup pour ton retour.
J’ai fait ma demande de WHV hier, j’attends maintenant l’email d’acceptation de celui-ci.
J’ai 31ans dans 8 jours!!!
Ça va passer tout juste, je l’espère!!!
Pour ensuite pouvoir partir au mois d’août 2019.
À bientôt.
Renaud

Marie I |

La date qui compte est celle du dépôt de la demande.

Charline I |

Bonjour,
Petite question sommes nous obligés de prendre un billet aller retour ? Pour le pvt nz ?

Marie I |

Salut Charline,
Non, ça n’est pas obligatoire. Tu peux avoir un aller-simple si tu le souhaites. Mais si tu optes pour cette option, nous te recommandons EXTRÊMEMENT FORTEMENT de toujours garder les fonds pour te payer un billet retour à n’importe quel moment. Genre, tu gardes par exemple cette somme sur ton compte français et tu n’y touches que si tu décides de rentrer.

Anonyme I |

Bonjour !

J’ai une question svp. Alors ce n’est peut-être pas ici qu’il faut poser cette question mais bon.
J’ai un visa pour la NZ que je dois l’utiliser avant le 6 juillet 2018. Je voudrais savoir est-ce que je dois vraiment partir avant le 6 juillet ou alors puis-je partir le jour-même donc le 6 juillet ?
Merci pour toutes vos réponses.

bise

Marie I |

Salut Tony,
Je dirais que cela dépend du visa avec lequel tu souhaites partir… Tu pars avec un PVT (Working Holiday visa) ?
Attention toutefois, Si tu pars le 6 juillet, tu as de grandes chances d’arriver au moins le 7 juillet en Nouvelle-Zélande…

Anonyme I |

Salut Marie,

Heureusement que je demande car j’avais oublié ces détails. Merci pour ta réponse qui m’aide beaucoup. Je me permets stp de t’en poser une deuxième si tu veux bien ? On est bien d’accord qu’il est impossible d’annuler le working holiday NZ visa pour en avoir un autre ? Il n’y a aucune exceptions ?

Merci Marie,

Marie I |

Salut Toni et désolée pour le délai.
Non, il n’y a aucune exception (du moins, on n’en a jamais vu). Si tu n’entres pas en Nouvelle-Zélande, tu perds ton PVT Nouvelle-Zélande pour toujours. PAr contre, rien ne t’empêchera de faire un autre PVT dans un autre pays.

CYNLEH I |

Bonjour à tous !
Je me trouve actuellement sur Wellington (NZ). J’ai des vaccins à faire et je ne sais pas bien où me rendre. Je veux aller dans un endroit sûr ?. Est ce que certains d’entre vous des adresses ? Ça m’aiderait bien. Cheers.

Marie I |

Salut, tu cherches à faire quels types de vaccins ?

CYNLEH I |

Salut, j’ai besoin de faire mon rappel ROR et le vaccin pour l’hépatite A.

Marie I |

Tu peux aller voir Travel Doctor par exemple. Ce sont des médecins spécialisés en médecine de voyage.
A noter, dans tous les cas, que tes vaccins ne seront pas remboursés par ton assurance.

CYNLEH I |

C’est ce que j’ai fait ce jour même. J’ai rendez vous jeudi. Les prix sont pas mal élevés mais la santé n’a pas de prix ?. J’avais contacté hier mon assurance et effectivement cela n’est pas pris en charge. Merci en tout cas d’avoir pris le temps de répondre à ma question j’apprécie réellement. En espérant que cela puisse servir à d’autres ?

Morille I |

Bonsoir,
Pour information, il n’est plus possible de demander à faire traduire gratuitement son permis de conduire à l’ambassade de France à Wellington. J’ai tenté pas plus tard que ce vendredi 4 mai, la personne à la réception m’a redirigée vers le Département des Affaires Internes. Il est effectivement possible de faire la démarche auprès de ce dernier, moyennant 75§…

Marie I |

Merci Morille,
On va effectivement modifier ça (on l’avait changé il y a quelques temps dans les dossiers sur les préparatifs, mais pas sur le guide).

Quentin I |

Bonjour, sans doute que la question a déjà été posé mais désolé je ne trouve pas (ou dans une discussion très ancienne) et nous partons pour la Nouvelle Zélande dans 24h… Bref, voici la question : Nous voulons prendre notre assurance glob pvt. A la base, ne sachant pas combien de tems nous allons rester, nous comptions prendre au mois. Nous avons après lu dans votre article, que ca pouvait être dangereux si on nous demandait notre assurance à la douane, que notre la durée de notre visa corresponderait à la durée de notre assurance (surtout au Canada visiblement). Bref, est-ce risqué de fonctionner ainsi ( au mois par mois) en Nouvelle Zélande? Est-ce préférable de prendre l’année directement? Merci pour votre réponse

Marie I |

Salut,
C’est beaucoup moins risqué en Nouvelle-Zélande. Ensuite, la prendre mois par mois n’est pas non plus la meilleure solution dans la mesure où vous multipliez les risques de vous retrouver sans assurance pendant un certain laps de temps.
Or, si vous resouscrivez a une assurance avec ces quelques jours de trous, cela pourrait constituer un motif de refus pour les assurances qui pourraient faire valoir que tu devais être assuré pendant tout le séjour.
1 mois par 1 mois, c’est risqué. Mais si vous voulez le tenter, vous devez absolument vous ajouter des rappels par mail et sur votre téléphone pour ne pas oublier de souscrire de nouveau avant de vous retrouver sans assurance.