Chapitre 1
Introduction
Chapitre 2
Qu'est-ce que le PVT ?
Chapitre 3
Les différentes façons de vivre son PVT
Chapitre 4
Destination Nouvelle-Zélande
Chapitre 5
Quelque conseils pour une bonne préparation
Chapitre 6
La demande de PVT en ligne
Chapitre 7
Une fois le PVT en main : commencer les préparatifs
Chapitre 8
Comment choisir son assurance ?
Chapitre 9
Avant de s’envoler : encore quelques démarches
Chapitre 10
Le passage de la douane néo-zélandaise
Chapitre 11
Les démarches auprès du ministère des Affaires étrangères
Chapitre 12
Ouvrir un compte en banque et transférer son argent
Chapitre 13
La demande du numéro IRD
Chapitre 14
Téléphoner et avoir accès à Internet
Chapitre 15
Trouver un logement
Chapitre 16
Faire ses courses
Chapitre 17
Le travail : un autre pays, des codes différents
Chapitre 18
Le marché du travail néo-zélandais
Chapitre 19
Les impôts
Chapitre 20
Chercher un emploi
Chapitre 21
Le travail saisonnier : fruit picking, saison de ski...
Chapitre 22
Le tourisme, l’hôtellerie et la restauration
Chapitre 23
Le volontariat (WWOOFing, HelpX, Workaway)
Chapitre 24
Achat et location d’une voiture ou un van
Chapitre 25
Les transports en commun
Chapitre 26
Faire du stop ou du covoiturage
Chapitre 27
Équiper son van
Chapitre 28
Camper / Se loger sur la route
Chapitre 29
Rester propre, laver ses vêtements, faire la vaisselle
Chapitre 30
La culture et la société néo-zélandaise
Chapitre 31
Nature et sports de plein air
Chapitre 32
Les lieux incontournables
Chapitre 33
Les lieux de tournage
Chapitre 34
Un souci de santé : comment se soigner ?
Chapitre 35
Sécurité
Chapitre 36
Un coup de déprime ou des soucis financiers : que faire ?
Chapitre 37
Les formalités avant de quitter la Nouvelle-Zélande
Chapitre 38
Prolonger son séjour en Nouvelle-Zélande
Chapitre 39
Les formalités administratives en rentrant
Chapitre 40
Le retour après un PVT, des sentiments contrastés
Chapitre 41
Repartir avec un autre PVT
Chapitre 42
Conclusion
Chapitre 43
Répertoire des sites importants
8Comment choisir son assurance ?


Pour que vous soyez éligible au PVT, l’immigration néo-zélandaise exige que vous souscriviez à une assurance maladie et hospitalisation pour toute la durée de votre séjour (“You must have a full medical insurance for the length of your stay”).

Pourquoi une assurance ?

Bien que ce contrôle ne soit pas systématique, votre justificatif d’assurance peut vous être demandé à la douane, lors de votre arrivée en Nouvelle-Zélande. Vous devez donc être en mesure de produire ce document à la moindre demande des services d’immigration (pas seulement à votre arrivée). De plus, les frais de santé en Nouvelle-Zélande sont élevés.

Vous ne bénéficiez ni de l’assurance maladie néo-zélandaise ni de la sécurité sociale française (à moins d’avoir souscrit à la CFE, dont on vous parle un peu plus tard dans ce guide). Il en est de même pour la Mutuelle belge et l’assurance-santé canadienne. Dès lors, en cas de problème de santé, vous devez tout payer de votre poche. Si le coût d’une consultation pour une angine (d’une centaine de dollars environ) vous paraît acceptable comparé au prix d’une assurance, il n’en sera sans doute pas de même s’il vous arrive quelque chose de plus grave.

Une fracture, une longue maladie, une hospitalisation en urgence… Ce sont des milliers de dollars qu’il vous faudra débourser ! Vous pouvez par exemple lire le cas de cette pvtiste partie sans assurance. L’hôpital où elle s’est rendue lui a réclamé 11 000 $, sous peine d’emprisonnement ou d’expulsion. Bien que cet exemple ait eu lieu au Canada, la situation serait la même en Nouvelle-Zélande qui applique les mêmes pratiques en terme d’assurance. Amélie, pvtiste en Nouvelle-Zélande, a constaté que son hospitalisation suite à une crise d’appendicite aurait pu lui coûter 12 000 $ si elle n’avait pas été assurée. Aurélien, qui s’est gravement blessé à la main pendant un volontariat en Nouvelle-Zélande, a lui aussi été soulagé d’avoir une assurance, autant pour les frais de santé que pour les conseils et le soutien des médecins français qui ont assuré un suivi par téléphone avec lui.

C’est votre santé qui doit vous motiver à prendre une assurance, plus encore que l’obligation stipulée par l’immigration néo-zélandaise ! Personne n’est à l’abri d’un accident et il est primordial d’être couvert. L’assurance est effectivement un budget, mais un budget indispensable pour éviter les mauvaises surprises. Pour plus d’informations consultez notre page Assurance PVT.

Témoignage de Clément, qui a bien fait de partir couvert !

« Comme tout le monde avant son départ, on se demande le réel intérêt d’une assurance vu qu’on est jeune, en bonne santé et jamais malade. Si on peut économiser 350 €, c’est toujours ça ! [J’étais dans ce cas.] Mais par précaution j’ai pris une assurance, et je suis pas déçu de l’avoir fait ! En neuf mois en NZ, je suis allé à l’hôpital pour une chute à vélo (170 €), voir un médecin (100 €), je me suis fait hospitaliser une dizaine de jours pour maladie (15 000 €) et ai dû bénéficier du rapatriement médicalisé en France (… €)… Je sais que mon cas est plutôt rare MAIS comme j’ai pu le constater, ça n’arrive pas qu’aux autres ! Et c’est là qu’une assurance est utile ! »

Les questions à se poser pour choisir une assurance

La lecture des dizaines de notices d’assurance pour pouvoir choisir celle qui vous correspond le mieux est une étape souvent très fastidieuse. C’est néanmoins la seule solution pour savoir si vous serez bien couvert !

Nous avons réalisé un comparatif des principales assurances adaptées au PVT : retrouvez-le sur notre site.

Voici les points les plus importants à vérifier lorsque vous faites votre sélection :

    • 1. Est-ce que l’assurance vous couvre en Nouvelle-Zélande ?
    • 2. Est-ce qu’elle vous couvre également en cas de séjour hors de Nouvelle-Zélande (escale en Asie, Australie, îles du Pacifique, Nouvelle-Calédonie, etc.) ?
    • 3. Est-ce qu’elle vous couvre bien jusqu’à 12 mois ?
    • 4. Est-ce bien une assurance maladie et hospitalisation comme demandé par l’immigration ?
    • 5. Est-ce qu’il y a des franchises ?
    • 6. Est-ce que vous êtes remboursé sur la base de la sécurité sociale française, de la mutuelle belge ou de l’assurance-maladie canadienne ou à frais réels ?
    • 7. Est-ce que vous êtes remboursé dès le premier dollar ?
    • 8. Quels sont les plafonds de remboursement ?
    • 9. Quelles sont les exclusions de la couverture ?

Attention aux franchises ! Parfois, votre assurance vous demandera de payer une franchise obligatoire pour le remboursement de chaque acte médical. Par exemple, pour un rendez-vous chez le médecin, si vous en avez pour 100 $, la franchise peut s’élever à l’équivalent de 50 $. Faites le calcul, c’est comme si vous n’étiez remboursé qu’à 50 % ! Préférez une assurance sans franchise.

Attention également aux assurances qui demandent qu’un document précis soit remis par le médecin. Certains médecins facturent la délivrance de ce document (jusqu’à 60 $, non remboursés ensuite par l’assurance).

Depuis plus de 15 ans, sur pvtistes.net, on vous recommande l’assurance Globe PVT, qui vous propose une couverture très complète pour 404,40 euros l’année.

Les plafonds de remboursement

Chaque assurance possède un plafond maximal de remboursement pour les différents actes pris en charge. Par exemple, les frais dentaires seront remboursés à raison d’une certaine somme au maximum, idem pour les frais d’hospitalisation, etc. Les frais de santé sont coûteux en Nouvelle-Zélande, il faut donc faire attention à ce que le plafond ne soit pas trop bas. C’est en tout cas une condition importante à prendre en compte lorsque vous faites votre choix d’assurance !

Le taux de remboursement

Le taux de remboursement est également un élément primordial : est-ce qu’il est bien précisé que les soins seront remboursés à 100 % des frais réels ? Parfois, les assurances remboursent à 100 % des prix de la sécurité sociale française ou de la mutuelle belge, ce qui n’est pas du tout avantageux pour vous puisque ce sera forcément plus cher en Nouvelle-Zélande qu’en France ou en Belgique. Donc, au final, vous ne serez presque pas remboursé.

Pour quelles activités / quels soins n’est-on pas couvert ?

Il faut savoir que les assurances voyage ne couvrent pas tous les soins. Il y a une exclusion de garantie qui est toujours la même, pour toutes les assurances voyage : les conséquences de maladies ou affections antérieures au départ ne seront pas couvertes une fois sur place.

Pour les pvtistes français ayant des maladies chroniques, référez-vous au chapitre ci-dessous à propos de la CFE. De plus, certains sports « à risque » ne sont pas toujours pris en charge. Chez certains assureurs, il vous faudra payer un supplément. Si vous comptez faire, par exemple, de la plongée sous-marine, du quad ou un saut en parachute, vérifiez bien qu’en cas d’accident, vous serez assuré. Si vous pratiquez un sport dans un club, on vous proposera certainement une assurance dans le cadre de votre licence.

Et la responsabilité civile ?

La plupart des assurances voyage couvrent la responsabilité civile. Bien que cet aspect ne soit pas une condition pour l’obtention de votre visa, il est extrêmement important. En France, la responsabilité civile est généralement couverte par votre assurance habitation. Or, en partant en PVT, vous quittez votre logement, donc votre contrat est résilié. Vous risquez ainsi de vous retrouver sans assurance responsabilité civile.

En arrivant en Nouvelle-Zélande, il n’est pas certain que vous trouviez un logement tout de suite. Si vous habitez dans une colocation, celle-ci sera peut-être déjà couverte, sans pour autant que votre propre responsabilité civile le soit. Dans la majorité des cas de figure, votre assurance voyage sera votre seule garantie de responsabilité civile, il est donc important que votre choix se porte sur une offre qui vous protège sur cet aspect également.

Quand et comment souscrire à une assurance ?

L’assurance doit absolument être souscrite avant que vous quittiez le sol français, belge ou canadien (même si vous ne commencez pas votre PVT tout de suite et faites du tourisme ailleurs, par exemple). Si vous ne comptez pas prendre la totalité de votre assurance d’un seul coup et que vous souhaitez la renouveler par la suite, faites bien attention à ce que les assurances soient bien continues et qu’il n’y ait pas un seul jour sans assurance, c’est primordial, car si ce n’est pas le cas, vous serez exclu des garanties, et ne serez donc pas couvert !

La plupart des assurances peuvent être souscrites en ligne, via des formulaires informatiques, avec paiement sécurisé par carte bancaire. Vous recevez ensuite votre contrat par courrier électronique.

Combien ça coûte ?

Pour commencer, ce n’est pas parce qu’une assurance est plus chère qu’elle vous offre de meilleures garanties ! Il faut éplucher les notices et les offres de tous les assureurs susceptibles d’être intéressants. Le plus important, c’est de choisir une assurance qui convienne à vos besoins. De la même manière que vous prévoyez un budget billet d’avion, un budget logement et un budget nourriture, vous devez prévoir un budget assurance.

Comptez une trentaine d’euros par mois environ pour une assurance adaptée aux besoins d’un pvtiste. Si vos proches veulent vous offrir un cadeau de départ, ou si les fêtes de fin d’année ou votre anniversaire approchent, pourquoi ne pas suggérer que tout ou partie de votre assurance vous soit offert ?

Les assurances de cartes bancaires

Certaines cartes de crédit (Mastercard, Visa Premier, Visa Gold, pour ne citer qu’elles) incluent une assurance. Cependant, il faut bien vérifier les clauses de votre contrat car certaines assurances sont nulles si votre séjour à l’étranger dépasse 90 jours (parfois, c’est 180 jours). Dans ce cas, l’assurance de votre carte bancaire ne sera valable que si vous décidez de faire un PVT de trois mois.

En revanche, elle ne le sera pas si vous décidez de faire un PVT plus long : les trois premiers mois de votre séjour ne seront pas assurés par votre carte de crédit. Si votre assurance de carte de crédit fonctionne (c’est-à-dire, si vous avez le droit d’être couvert pendant les trois premiers mois même en restant à l’étranger pour une durée supérieure), vous pouvez faire démarrer votre assurance voyage à la fin de la période de garantie de votre carte de paiement.

Toutefois, l’assurance doit généralement être souscrite avant votre départ de votre pays d’origine (même si celle-ci commencera effectivement quelques mois plus tard). À noter que, pour que votre assurance de CB soit valide, vous devez avoir utilisé votre carte de paiement pour payer votre billet d’avion. Il faut également faire attention aux plafonds fixés par votre assurance de carte bancaire, et vérifier qu’il s’agit bien d’une assurance maladie / rapatriement / hospitalisation.

N’oubliez pas d’emporter avec vous vos contrats d’assurance pour les montrer à l’agent d’immigration, le cas échéant.

La Caisse des Français de l’Étranger

La Caisse des Français de l’Étranger (CFE) permet aux Français qui partent à l’étranger de bénéficier d’une couverture maladie identique à celle de la sécurité sociale. Cela veut dire que vos frais médicaux habituels seront remboursés, mais à hauteur des tarifs français. Par exemple, si vous devez aller voir un médecin pour une consultation à 75 $ (environ 60 €), la CFE est en mesure de vous rembourser à hauteur de 70 % des tarifs français (23 €), soit 16,10 €.

Souscrire à la CFE ne dispense en aucun cas de souscrire à une assurance maladie / hospitalisation / rapatriement. L’adhésion à la CFE coûte 31 ou 72 € par mois selon votre âge. Bien que non obligatoire, elle présente plusieurs avantages :

      • L’absence des exclusions habituelles des assurances voyage (et donc prise en charge partielle des maladies antérieures au départ, des visites de contrôle, des frais médicaux courants qui sont parfois exclus par certaines assurances voyage).
      • La continuité au regard de la sécurité sociale : adhérer à la CFE revient dans la pratique à un changement de CPAM. Au retour, la réaffiliation à la sécurité sociale française se fait de la même façon. Une souscription à la CFE vous permettra d’être certain de n’avoir aucun délai de carence au retour, qu’il soit anticipé ou non.

Certaines assurances privées vous proposent une formule de remboursement en complément de la CFE, mais il est en réalité possible de s’inscrire à la CFE et, en complément, de souscrire à n’importe quelle assurance. Vous devez donc faire votre choix en deux temps.

D’une part, posez-vous la question de savoir si vous souhaitez adhérer à la CFE et d’autre part, celle de savoir quelle assurance voyage vous souhaitez prendre : il s’agit là de deux démarches de réflexion indépendantes.

Pourquoi choisir Globe PVT ?

      • Un tarif abordable (environ 1 € par jour en PVT)
      • Possibilité de payer votre assurance Globe PVT en 2, 3 ou 4 fois
      • Une plateforme d’assistance joignable 24 h/24, 7 j/7
      • Des demandes de remboursement de soins en quelques clics pour les dépenses de 500 € ou moins (au-delà, la démarche est par courrier mais reste rapide)
      • Aucune avance de frais dès une nuit d’hospitalisation
      • Couverture de nombreux sports : plongée sous-marine, ski sur piste, surf, randonnée…
      • Remboursement des mois d’assurance non-utilisés en cas de retour définitif, que vous ayez ou non demandé un remboursement de soins pendant votre PVT !

En savoir plus sur Globe PVT.

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(48) Commentaires

Anonyme I |

Bonjour,
Je vois qu’il n’y a pas eu de commentaires depuis un moment, je tente quand même.
J’aurai 55 ans en juillet et j’envisage d’aller en NZ cet été ou à l’automne.
J’aurais aimé prendre un visa tourisme-travail ne sachant pas quelle durée de séjour je vais avoir.
Est-ce possible ?
Sinon, puis-je démarrer par un visa tourisme et le transformer en visa travail si j’trouve un job sur place pour prolonger mon séjour ?
Un grand merci d’avance pour votre réponse,
Nathalie

Juliadf I |

Bonjour, pour avoir le visa working Holliday il faut avoir maximum 31 ans.

Anaïs I |

Bonjour, est-il possible de commander ce guide en livre? Merci pour votre réponse!

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Marie I |

Bonjour Anais,
Malheureusement non, nous ne proposons pas actuellement une version papier de ce guide.

Shana I |

Bonjour,
Mon compagnon et moi même comptons partir en PVT en nouvelle Zélande l’année prochaine, dans un éventuel espoir de poursuivre sur une demande de visa permanent. Seule hombre au tableau, si pour ma part j’aurais 26 ans, Mon compagnon lui en aura 30. Nous savons que ça sera la limite pour obtenir un PVT, mais quand sera t il pour un visa permanent étant donné qu’il fêtera ses 31 ??!
Nous sommes inquiets de voir notre rêve s’effondrer ?… si vous avez une réponse ? Merci !

Marie I |

Bonjour Shana,
Il n’y a pas de limites d’âge à 30 ans pour la résidence permanente…
Quand il y a une limite d’âge, celle-ci est généralement de 55 ans. Information que vous pouvez trouver sur le site de l’immigration néo-zélandaise quand vous cherchez des informations sur la résidence permanente en Nouvelle-Zélande en regardant les différentes options possibles 😉 (https://www.immigration.govt.nz/new-zealand-visas/options/live-permanently/all-resident-visas).

Charline I |

Bonjour,

J’ai passé les douanes sans faire valider mon visa. (Non volontaire bien sûre, tout est allé vite j’avais sortie tous les papiers pourtant bref s’est arrivé). Quel moyen pour faire valider mon pvt? Je pensais aller voir à l’aéroport demain.

Merci Charline

Marie I |

Saut Charline,
Tu as validé ton visa automatiquement à ton arrivée :). Pas besoin d’aller à l’aéroport.

Charline I |

Ah merci !!

Renaud I |

Bonjour,
Le 24 septembre 2018, je vais avoir 31ans.
Je suis français et je suis en train de faire ma demande de WHV pour la Nouvelle-Zélande.
Ma question est la suivante:
Si je reçois ma confirmation de WHV avant le 24 septembre prochain, cela veut dire que je pourrais arriver en NZ jusqu’au 23 septembre 2019 et donc profiter de mon voyage jusqu’au 23 septembre 2020?
Merci d’avance pour vos retours.
Renaud

Marie I |

Salut Renaud,

Oui, c’est ça.
Alors ensuite, cela dépend de ton âge. Si tu n’as pas encore 30 ans, autant demander ton PVT Nouvelle-Zélande quand tu es vraiment près à partir, quelques mois avant ton départ envisagé.
Les choses sont un peu différentes si tu vas bientôt avoir 31 ans. En effet, dans ce cas, fait-le relativement rapidement. Si c’est ton cas, et que tu veux attendre le dernier moment pour faire ta demande, il y a deux choses à prendre en compte :
– Le décalage horaire : si tu fais ta demande la veille de tes 31 ans, fais très attention car ils tiendront compte de l’heure néo-zélandaise. Ainsi, si tu fais ta demande en soirée, la veille de tes 31 ans, on sera déjà le lendemain avec le décalage horaire et tu seras alors trop vieux.
– La durée du trajet : tu arriveras automatiquement le lendemain de ton départ. Cela signifie donc que tu ne dois pas partir, dans ton exemple, le 23 septembre

Enfin, je te recommanderais de ne pas attendre le tout dernier jour pour prendre ton visa, ou partir : il peut y avoir des soucis techniques sur le site de l’immigration, une maintenance ou des choses de ce type. Idem, il peut y avoir des éléments extérieurs qui pourraient t’empêcher d’arriver au bon moment (annulation de vol, tempête, retards de vol, tu te blesses juste avant le départ).

Renaud I |

Salut Marie,
Et bien super!!!
Merci beaucoup pour ton retour.
J’ai fait ma demande de WHV hier, j’attends maintenant l’email d’acceptation de celui-ci.
J’ai 31ans dans 8 jours!!!
Ça va passer tout juste, je l’espère!!!
Pour ensuite pouvoir partir au mois d’août 2019.
À bientôt.
Renaud

Marie I |

La date qui compte est celle du dépôt de la demande.

Charline I |

Bonjour,
Petite question sommes nous obligés de prendre un billet aller retour ? Pour le pvt nz ?

Marie I |

Salut Charline,
Non, ça n’est pas obligatoire. Tu peux avoir un aller-simple si tu le souhaites. Mais si tu optes pour cette option, nous te recommandons EXTRÊMEMENT FORTEMENT de toujours garder les fonds pour te payer un billet retour à n’importe quel moment. Genre, tu gardes par exemple cette somme sur ton compte français et tu n’y touches que si tu décides de rentrer.

Anonyme I |

Bonjour !

J’ai une question svp. Alors ce n’est peut-être pas ici qu’il faut poser cette question mais bon.
J’ai un visa pour la NZ que je dois l’utiliser avant le 6 juillet 2018. Je voudrais savoir est-ce que je dois vraiment partir avant le 6 juillet ou alors puis-je partir le jour-même donc le 6 juillet ?
Merci pour toutes vos réponses.

bise

Marie I |

Salut Tony,
Je dirais que cela dépend du visa avec lequel tu souhaites partir… Tu pars avec un PVT (Working Holiday visa) ?
Attention toutefois, Si tu pars le 6 juillet, tu as de grandes chances d’arriver au moins le 7 juillet en Nouvelle-Zélande…

Anonyme I |

Salut Marie,

Heureusement que je demande car j’avais oublié ces détails. Merci pour ta réponse qui m’aide beaucoup. Je me permets stp de t’en poser une deuxième si tu veux bien ? On est bien d’accord qu’il est impossible d’annuler le working holiday NZ visa pour en avoir un autre ? Il n’y a aucune exceptions ?

Merci Marie,

Marie I |

Salut Toni et désolée pour le délai.
Non, il n’y a aucune exception (du moins, on n’en a jamais vu). Si tu n’entres pas en Nouvelle-Zélande, tu perds ton PVT Nouvelle-Zélande pour toujours. PAr contre, rien ne t’empêchera de faire un autre PVT dans un autre pays.

CYNLEH I |

Bonjour à tous !
Je me trouve actuellement sur Wellington (NZ). J’ai des vaccins à faire et je ne sais pas bien où me rendre. Je veux aller dans un endroit sûr ?. Est ce que certains d’entre vous des adresses ? Ça m’aiderait bien. Cheers.

Marie I |

Salut, tu cherches à faire quels types de vaccins ?

CYNLEH I |

Salut, j’ai besoin de faire mon rappel ROR et le vaccin pour l’hépatite A.

Marie I |

Tu peux aller voir Travel Doctor par exemple. Ce sont des médecins spécialisés en médecine de voyage.
A noter, dans tous les cas, que tes vaccins ne seront pas remboursés par ton assurance.

CYNLEH I |

C’est ce que j’ai fait ce jour même. J’ai rendez vous jeudi. Les prix sont pas mal élevés mais la santé n’a pas de prix ?. J’avais contacté hier mon assurance et effectivement cela n’est pas pris en charge. Merci en tout cas d’avoir pris le temps de répondre à ma question j’apprécie réellement. En espérant que cela puisse servir à d’autres ?

Morille I |

Bonsoir,
Pour information, il n’est plus possible de demander à faire traduire gratuitement son permis de conduire à l’ambassade de France à Wellington. J’ai tenté pas plus tard que ce vendredi 4 mai, la personne à la réception m’a redirigée vers le Département des Affaires Internes. Il est effectivement possible de faire la démarche auprès de ce dernier, moyennant 75§…

Marie I |

Merci Morille,
On va effectivement modifier ça (on l’avait changé il y a quelques temps dans les dossiers sur les préparatifs, mais pas sur le guide).

Quentin I |

Bonjour, sans doute que la question a déjà été posé mais désolé je ne trouve pas (ou dans une discussion très ancienne) et nous partons pour la Nouvelle Zélande dans 24h… Bref, voici la question : Nous voulons prendre notre assurance glob pvt. A la base, ne sachant pas combien de tems nous allons rester, nous comptions prendre au mois. Nous avons après lu dans votre article, que ca pouvait être dangereux si on nous demandait notre assurance à la douane, que notre la durée de notre visa corresponderait à la durée de notre assurance (surtout au Canada visiblement). Bref, est-ce risqué de fonctionner ainsi ( au mois par mois) en Nouvelle Zélande? Est-ce préférable de prendre l’année directement? Merci pour votre réponse

Marie I |

Salut,
C’est beaucoup moins risqué en Nouvelle-Zélande. Ensuite, la prendre mois par mois n’est pas non plus la meilleure solution dans la mesure où vous multipliez les risques de vous retrouver sans assurance pendant un certain laps de temps.
Or, si vous resouscrivez a une assurance avec ces quelques jours de trous, cela pourrait constituer un motif de refus pour les assurances qui pourraient faire valoir que tu devais être assuré pendant tout le séjour.
1 mois par 1 mois, c’est risqué. Mais si vous voulez le tenter, vous devez absolument vous ajouter des rappels par mail et sur votre téléphone pour ne pas oublier de souscrire de nouveau avant de vous retrouver sans assurance.