De nombreux pvtistes choisissent le travail saisonnier pour pouvoir être mobiles et profiter au maximum du pays pendant l’année.
Un dossier spécialement dédié à ce type d’emplois est disponible sur pvtistes.net : Le fruit picking et le travail saisonnier en Nouvelle-Zélande.
Dans les domaines agricoles, horticoles et viticoles, si un peu d’expérience dans le domaine est parfois nécessaire pour accomplir certaines tâches, un bon niveau d’anglais n’est pas toujours indispensable. Cela peut donc être idéal pour débuter dans le pays.
Le travail saisonnier englobe des activités très variées qui peuvent être faites aussi bien en intérieur qu’en extérieur.
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- Picking / Harvesting : la cueillette des fruits (picking), des légumes ou du raisin (harvesting).
- Pruning : la taille des arbres fruitiers ou de la vigne.
- Tâches viticoles : winter pruning (taille) de mai à septembre, shoot thining (ébourgeonnage) en octobre, bud rubbing (épamprage) et wire lifting (palissage) en novembre et décembre, leaf plucking (effeuillage) et fruit thining (vendange en vert) en février et netting (pose des filets de protection contre les oiseaux en avril).
- Tâches en usine : packing (emballage des fruits et légumes), grading (tri), stacking (empiler les plateaux de fruits pour les préparer à l’expédition), strapping (emballer les lots de fruits avec du film plastique), repacking (vérification et remplacement des mauvais fruits), forklift operator (conduite des charriots-élévateurs, qui nécessite une formation néo-zélandaise), tray assembly (préparation des cartons).
- Élevage de moutons : shearing (tonte complète des moutons), crutching (tonte de l’arrière train du mouton), lambing (naissance des agneaux entre août et novembre) et tailing (coupe des queues des jeunes moutons). Alex et Cécilia, qui en ont fait l’expérience, témoignent dans cet article : Faire du lambing en Nouvelle-Zélande.
- En station de ski de juin à octobre : instructeurs de ski ou de surf, emplois dans l’hôtellerie et la restauration, vente d’articles de sport, employés dans les magasins de location de ski, vente de tickets et de forfaits de remontées mécaniques. Le recrutement débute en février.
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Laura, qui a passé sa formation de monitrice de ski en Nouvelle-Zélande
“Je pense que c’est plutôt facile de trouver un emploi pour la saison de ski en Nouvelle-Zélande, à condition de s’y prendre assez tôt et d’être ouvert à différents boulots. Les sites internet des stations sont l’endroit où postuler et où tu peux trouver toutes les informations nécessaires. La plupart des stations ont une rubrique « Employment » qui est pleine d’informations : les différentes dates, la procédure, les avantages, etc.”
Notez que le travail saisonnier est irrégulier. Certaines semaines, vous pouvez travailler entre 50 et 60 heures tandis que d’autres semaines, vous pouvez faire moins de 10 heures, voire ne pas travailler du tout.
Les conditions météo sont très importantes, notamment si vous travaillez en extérieur. Une journée de pluie est soit une journée de travail très désagréable, soit une journée de chômage technique selon votre emploi.
Pour ce type de travaux, il est indispensable d’être bien équipé : vieux vêtements protecteurs, chaussures fermées, chapeau en extérieur, etc. Souvenez-vous de ces 10 commandements pour être correctement protégé des intempéries ou du soleil.
1. Des tartines de crème solaire sur ton corps, tu appliqueras.
2. De baskets fermées tu te muniras.
3. Des litres d’eau tu boiras.
4. De la nourriture pour tes fringales tu emporteras.
5. De lunettes de soleil solides tu t’équiperas par jour de beau temps.
6. Des intempéries tu te protègeras.
7. Des vêtements usés tu porteras.
8. Des manches longues et des vêtements clairs tu préféreras.
9. Tu ne convoiteras pas le chapeau de ton voisin, tu en prendras un.
10. La fashion week en fruit picking, tu oublieras.
Pour trouver des emplois saisonniers, consultez notre liste de liens utiles et les coordonnées des entreprises présentes dans nos dossiers sur le travail saisonnier sur l’Île du Nord et sur l’Île du Sud. Prospecter directement sur place (en passant d’exploitation en exploitation) s’avère particulièrement efficace. Des annonces sont en outre régulièrement affichées à l’entrée des fermes ou dans les supermarchés. Pour être embauché et pour commencer à travailler, vous devrez présenter à votre employeur votre passeport, votre permis de travail (le document imprimé intitulé Work permit), vos coordonnées bancaires et votre numéro IRD.
Les working hostels
Certaines auberges de jeunesse proposent de faire le lien entre vous et les producteurs qui ont besoin de main-d’œuvre. Ce sont les working hostels. Passer par leur intermédiaire vous engage à loger dans l’auberge tant que vous travaillez pour l’un de leurs partenaires.
Le fonctionnement même des working hostels connaît certaines limites :
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- D’une part, certaines working hostels affichent elles-mêmes des offres d’emploi sur Internet pour attirer les travailleurs dans leur établissement, expliquant que des entreprises de la région ont besoin de travailleurs. La plupart du temps, c’est effectivement le cas. Mais parfois, alors que l’annonce est très optimiste, vous vous retrouvez à attendre une à deux semaines (tout en payant vos nuits dans l’auberge) avant de commencer à travailler pour une entreprise. Le décalage entre la foultitude d’emplois promis dans l’annonce initiale et la réalité une fois sur place peut en décontenancer certains.
- D’autre part, le système des working hostels n’est pas toujours bien compris (ou accepté) par tout le monde : ces auberges imposent généralement à leurs clients de rester dans l’auberge pendant toute la durée de leur emploi (puisqu’ils les ont aidés à le trouver). Ceux qui veulent quitter l’auberge plus tôt que prévu (pour louer une chambre en colocation, par exemple) se voient menacer de licenciement ou perdent la caution donnée à leur arrivée.
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Vous n’êtes bien entendu pas obligé de passer par ces auberges pour trouver du travail, mais certains vous diront qu’il est parfois plus simple de trouver un emploi par leur intermédiaire. D’un autre côté, beaucoup de pvtistes vous diront qu’une location ou une colocation reste assez simple à trouver dans les régions où il y a du travail en fruit picking, et que, pendant les périodes d’activité, les working hostels n’ont en aucun cas le monopole de la distribution des emplois dans la région.
De nombreuses entreprises qui ont besoin de main-d’œuvre vous embaucheront, que vous viviez dans un working hostel ou non.
Témoignage de Léo sur les working hostels
« Pour les backpackers [hostels] qui proposent des jobs, j’ai eu quelques expériences (négatives) mais surtout beaucoup d’échos, négatifs aussi. Le truc c’est que lorsqu’on débarque dans un nouveau pays, on se dit “On va faire simple, on va aller en backpacker”. Mais au final, la [colocation] ici est tellement simple et tellement moins chère qu’il ne faut pas hésiter. Au bout de 5 jours nous sommes rentrés en contact avec le propriétaire d’un backpacker qui nous à proposé du travail (il nous a en effet mis en contact avec un contractor). En échange, on devait rester dans son établissement. Nous avons dit ok, nous sommes restés 2 semaines puis nous avons décidé de quitter le backpacker pour une colocation. Au final nous avons troqué le backpacker à 260 $ la semaine pour une chambre immense (environ 3 chambres de backpacker en superficie) dans une maison immense pour seulement 175 $ par semaine.Sachant que nous n’avions plus à payer l’Internet (60 $ par mois au backpacker) ni les machines à laver (environ 12 $ en comptant le séchage)… Bien évidemment le tenancier [de l’auberge de jeunesse] n’a pas été content que nous lui annoncions notre souhait de partir, il nous a donc menacé de nous faire perdre notre job (que nous avions commencé depuis deux semaines), et nous a fait un maximum de chantage. À ce niveau-là, on s’est dit “plutôt perdre son job que de continuer à donner des sous à quelqu’un comme lui”. Nous sommes donc partis, et au final, vu que nous travaillions bien, nos employeurs (les agriculteurs) ont demandé à nous garder malgré la volonté initiale du contractor et du proprio du backpacker (qui voulaient nous faire quitter le job).
CEPENDANT ne généralisons rien, j’ai également connu des gens qui étaient très contents de leur working hostel. Il y a des gens très honnêtes et il y a même certains propriétaires qui n’obligent pas les gens à rester chez eux en échange du job. »
Pour en savoir plus ou pour en discuter, n’hésitez pas à consulter cette discussion de notre forum : Se loger en working hostel, vos témoignages.
PickNZ
PickNZ est une initiative de Horticulture New Zealand, l’industrie horticole néo-zélandaise, et a pour objectif de mettre en avant les emplois saisonniers dans les huit régions horticoles et viticoles principales du pays : le Northland, Waikato, Bay of Plenty, Gisborne, Hawke’s Bay, Nelson, Marlborough, et Central Otago. Ces régions se trouvent également au cœur, ou à proximité, des points incontournables de la Nouvelle-Zélande.
Vous pouvez trouver de nombreuses annonces sur leur site et vous pouvez même les contacter pour qu’ils vous aident dans votre recherche d’emploi.
Les contractors
Les producteurs n’ont pas toujours envie de gérer l’embauche et la formation des personnes qui vont travailler quelques semaines sur leur exploitation. Ils se tournent alors vers des entités sous-traitantes qui leur fournissent la main-d’œuvre dont ils ont besoin pour réaliser différents types de tâches : soit des entreprises spécialisées, soit des individus, appelés contractors.
Les contractors font donc l’intermédiaire entre les producteurs et les pvtistes. Ils se chargent ensuite de constituer les équipes en faisant appel à vous, les pvtistes en recherche d’emploi. Les petites exploitations ne font pas systématiquement appel à des contractors, mais les plus grandes, qui doivent gérer un nombre important de travailleurs saisonniers ont tendance à faire appel à eux ou à recruter un responsable des ressources humaines pour s’occuper de la gestion du personnel.
Pour trouver un emploi, vous pouvez ainsi aller directement au contact des exploitations ou vous rapprocher des différents contractors. Les expériences avec les contractors se passent souvent très bien. Certains ont plus de contrats que d’autres. N’hésitez pas à faire fonctionner le bouche-à-oreille pour connaître ceux qui ont le plus de contrats et qui pourront sûrement vous faire travailler un nombre d’heures intéressant. À noter que certains gros contractors sont très occupés. Dans ce cas, il peut être difficile de communiquer avec eux au quotidien.
Certains contractors ont en revanche une mauvaise réputation : ils sont connus pour avoir le licenciement facile ou pour ne pas payer l’intégralité des heures travaillées, par exemple. Discutez avec les gens que vous rencontrez sur votre route pour connaître les contractors fournissant du travail et payant leurs employés régulièrement (et conservez leurs coordonnées !). Ceux qui ne sont pas recommandables, évitez-les !
Travailler tout au long de l’année
Il est parfois possible de trouver du travail tout au long de l’année dans les emplois saisonniers. Nous vous proposons une liste des emplois disponibles, région par région.
Retrouvez région par région les activités saisonnières que vous pouvez exercer pendant votre PVT grâce à nos dossiers consacrés à l’Île du Nord et à l’Île du Sud. Vous retrouverez notamment dans ces dossiers des liens vers les entreprises qui embauchent régulièrement des travailleurs saisonniers.
(55) Commentaires
Bonjour à tous,
Auriez vous un garage à me recommander sur Wellington pour faire l’entretien et vidange de la voiture svp ? Merci 🙂
Salut Marine,
Personnellement, je n’en ai pas mais n’hésite pas à publier sur notre groupe Facebook pvtistes / Francophones / Français en Nouvelle-Zélande https://www.facebook.com/groups/307851156806574
Belle journée,
Pamela
Bonjour, nous sommes en PVT en NZ depuis octobre 2023. Nos visas expirent donc dans moins de 3 mois. Nous aimerions continuer de travailler jusqu’en octobre et ensuite demander un visitor visa pour finir de visiter le pays pendant un mois. Est ce possible ? Nous savons qu’il faudra payer 211 nzd ce visa si nous demandons depuis la NZ. Je voudrais simplement être sûr que c’est possible après un PVT sans quitter le territoire.
Merci d’avance
Salut 🙂
Oui, il est tout à fait possible de demander un visitor visa sans quitter le pays.
Belle journée,
Pamela
Super ! Merci 🙂
Bonjour, le lien pour le compte wise est-il toujours bon car lorsque je rentre ce lien je suis dans votre page d’accueil je l’ai rentré sur mon téléphone car je n’ai pas de pc sur moi
Hello,
Oui, le bon plan fonctionne toujours. Il faut bien passer par le lien du bon plan ici pour sa première inscription https://pvtistes.net/bonsplans/wise/ 🙂
Bonjour,
Je vois qu’il n’y a pas eu de commentaires depuis un moment, je tente quand même.
J’aurai 55 ans en juillet et j’envisage d’aller en NZ cet été ou à l’automne.
J’aurais aimé prendre un visa tourisme-travail ne sachant pas quelle durée de séjour je vais avoir.
Est-ce possible ?
Sinon, puis-je démarrer par un visa tourisme et le transformer en visa travail si j’trouve un job sur place pour prolonger mon séjour ?
Un grand merci d’avance pour votre réponse,
Nathalie
Bonjour, pour avoir le visa working Holliday il faut avoir maximum 31 ans.
Bonjour, est-il possible de commander ce guide en livre? Merci pour votre réponse!
Bonjour Anais,
Malheureusement non, nous ne proposons pas actuellement une version papier de ce guide.
Bonjour,
Mon compagnon et moi même comptons partir en PVT en nouvelle Zélande l’année prochaine, dans un éventuel espoir de poursuivre sur une demande de visa permanent. Seule hombre au tableau, si pour ma part j’aurais 26 ans, Mon compagnon lui en aura 30. Nous savons que ça sera la limite pour obtenir un PVT, mais quand sera t il pour un visa permanent étant donné qu’il fêtera ses 31 ??!
Nous sommes inquiets de voir notre rêve s’effondrer ?… si vous avez une réponse ? Merci !
Bonjour Shana,
Il n’y a pas de limites d’âge à 30 ans pour la résidence permanente…
Quand il y a une limite d’âge, celle-ci est généralement de 55 ans. Information que vous pouvez trouver sur le site de l’immigration néo-zélandaise quand vous cherchez des informations sur la résidence permanente en Nouvelle-Zélande en regardant les différentes options possibles 😉 (https://www.immigration.govt.nz/new-zealand-visas/options/live-permanently/all-resident-visas).
Bonjour,
J’ai passé les douanes sans faire valider mon visa. (Non volontaire bien sûre, tout est allé vite j’avais sortie tous les papiers pourtant bref s’est arrivé). Quel moyen pour faire valider mon pvt? Je pensais aller voir à l’aéroport demain.
Merci Charline
Saut Charline,
Tu as validé ton visa automatiquement à ton arrivée :). Pas besoin d’aller à l’aéroport.
Ah merci !!
Bonjour,
Le 24 septembre 2018, je vais avoir 31ans.
Je suis français et je suis en train de faire ma demande de WHV pour la Nouvelle-Zélande.
Ma question est la suivante:
Si je reçois ma confirmation de WHV avant le 24 septembre prochain, cela veut dire que je pourrais arriver en NZ jusqu’au 23 septembre 2019 et donc profiter de mon voyage jusqu’au 23 septembre 2020?
Merci d’avance pour vos retours.
Renaud
Salut Renaud,
Oui, c’est ça.
Alors ensuite, cela dépend de ton âge. Si tu n’as pas encore 30 ans, autant demander ton PVT Nouvelle-Zélande quand tu es vraiment près à partir, quelques mois avant ton départ envisagé.
Les choses sont un peu différentes si tu vas bientôt avoir 31 ans. En effet, dans ce cas, fait-le relativement rapidement. Si c’est ton cas, et que tu veux attendre le dernier moment pour faire ta demande, il y a deux choses à prendre en compte :
– Le décalage horaire : si tu fais ta demande la veille de tes 31 ans, fais très attention car ils tiendront compte de l’heure néo-zélandaise. Ainsi, si tu fais ta demande en soirée, la veille de tes 31 ans, on sera déjà le lendemain avec le décalage horaire et tu seras alors trop vieux.
– La durée du trajet : tu arriveras automatiquement le lendemain de ton départ. Cela signifie donc que tu ne dois pas partir, dans ton exemple, le 23 septembre
Enfin, je te recommanderais de ne pas attendre le tout dernier jour pour prendre ton visa, ou partir : il peut y avoir des soucis techniques sur le site de l’immigration, une maintenance ou des choses de ce type. Idem, il peut y avoir des éléments extérieurs qui pourraient t’empêcher d’arriver au bon moment (annulation de vol, tempête, retards de vol, tu te blesses juste avant le départ).
Salut Marie,
Et bien super!!!
Merci beaucoup pour ton retour.
J’ai fait ma demande de WHV hier, j’attends maintenant l’email d’acceptation de celui-ci.
J’ai 31ans dans 8 jours!!!
Ça va passer tout juste, je l’espère!!!
Pour ensuite pouvoir partir au mois d’août 2019.
À bientôt.
Renaud
La date qui compte est celle du dépôt de la demande.
Bonjour,
Petite question sommes nous obligés de prendre un billet aller retour ? Pour le pvt nz ?
Salut Charline,
Non, ça n’est pas obligatoire. Tu peux avoir un aller-simple si tu le souhaites. Mais si tu optes pour cette option, nous te recommandons EXTRÊMEMENT FORTEMENT de toujours garder les fonds pour te payer un billet retour à n’importe quel moment. Genre, tu gardes par exemple cette somme sur ton compte français et tu n’y touches que si tu décides de rentrer.
Bonjour !
J’ai une question svp. Alors ce n’est peut-être pas ici qu’il faut poser cette question mais bon.
J’ai un visa pour la NZ que je dois l’utiliser avant le 6 juillet 2018. Je voudrais savoir est-ce que je dois vraiment partir avant le 6 juillet ou alors puis-je partir le jour-même donc le 6 juillet ?
Merci pour toutes vos réponses.
bise
Salut Tony,
Je dirais que cela dépend du visa avec lequel tu souhaites partir… Tu pars avec un PVT (Working Holiday visa) ?
Attention toutefois, Si tu pars le 6 juillet, tu as de grandes chances d’arriver au moins le 7 juillet en Nouvelle-Zélande…
Salut Marie,
Heureusement que je demande car j’avais oublié ces détails. Merci pour ta réponse qui m’aide beaucoup. Je me permets stp de t’en poser une deuxième si tu veux bien ? On est bien d’accord qu’il est impossible d’annuler le working holiday NZ visa pour en avoir un autre ? Il n’y a aucune exceptions ?
Merci Marie,
Salut Toni et désolée pour le délai.
Non, il n’y a aucune exception (du moins, on n’en a jamais vu). Si tu n’entres pas en Nouvelle-Zélande, tu perds ton PVT Nouvelle-Zélande pour toujours. PAr contre, rien ne t’empêchera de faire un autre PVT dans un autre pays.
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