Chapitre 1
Introduction
Chapitre 2
Qu'est-ce que le PVT ?
Chapitre 3
Les différentes façons de vivre son PVT
Chapitre 4
Destination Nouvelle-Zélande
Chapitre 5
Quelque conseils pour une bonne préparation
Chapitre 6
La demande de PVT en ligne
Chapitre 7
Une fois le PVT en main : commencer les préparatifs
Chapitre 8
Comment choisir son assurance ?
Chapitre 9
Avant de s’envoler : encore quelques démarches
Chapitre 10
Le passage de la douane néo-zélandaise
Chapitre 11
Les démarches auprès du ministère des Affaires étrangères
Chapitre 12
Ouvrir un compte en banque et transférer son argent
Chapitre 13
La demande du numéro IRD
Chapitre 14
Téléphoner et avoir accès à Internet
Chapitre 15
Trouver un logement
Chapitre 16
Faire ses courses
Chapitre 17
Le travail : un autre pays, des codes différents
Chapitre 18
Le marché du travail néo-zélandais
Chapitre 19
Les impôts
Chapitre 20
Chercher un emploi
Chapitre 21
Le travail saisonnier : fruit picking, saison de ski...
Chapitre 22
Le tourisme, l’hôtellerie et la restauration
Chapitre 23
Le volontariat (WWOOFing, HelpX, Workaway)
Chapitre 24
Achat et location d’une voiture ou un van
Chapitre 25
Les transports en commun
Chapitre 26
Faire du stop ou du covoiturage
Chapitre 27
Équiper son van
Chapitre 28
Camper / Se loger sur la route
Chapitre 29
Rester propre, laver ses vêtements, faire la vaisselle
Chapitre 30
La culture et la société néo-zélandaise
Chapitre 31
Nature et sports de plein air
Chapitre 32
Les lieux incontournables
Chapitre 33
Les lieux de tournage
Chapitre 34
Un souci de santé : comment se soigner ?
Chapitre 35
Sécurité
Chapitre 36
Un coup de déprime ou des soucis financiers : que faire ?
Chapitre 37
Les formalités avant de quitter la Nouvelle-Zélande
Chapitre 38
Prolonger son séjour en Nouvelle-Zélande
Chapitre 39
Les formalités administratives en rentrant
Chapitre 40
Le retour après un PVT, des sentiments contrastés
Chapitre 41
Repartir avec un autre PVT
Chapitre 42
Conclusion
Chapitre 43
Répertoire des sites importants
7Une fois le PVT en main : commencer les préparatifs

Vous avez reçu l’e-mail de l’immigration néo-zélandaise vous confirmant l’obtention de votre visa ? Vous pouvez maintenant entamer les principaux préparatifs : acheter votre billet d’avion, réserver un hébergement temporaire, améliorer votre anglais, faire vos bagages, choisir le matériel high tech à emporter, etc.

Trouver son billet d’avion

La Nouvelle-Zélande, c’est loin, voire très loin ! Escale(s) et long-courriers sont souvent inévitables ! Plusieurs options aériennes s’offrent donc à vous pour rejoindre votre destination.

Les types de billet

L’aller simple, qui vous laisse une grande liberté dans le choix de votre retour (date et ville), s’avère souvent plus coûteux (deux allers simples coûtent généralement plus cher qu’un aller-retour). De plus, si vous n’avez pas l’obligation de présenter un billet retour à votre arrivée en Nouvelle-Zélande, vous devez en revanche justifier de fonds suffisants pour en acheter un, si vous arrivez avec un aller simple. Ainsi, en plus des 4 200 $ exigés, vous devez prévoir le prix d’un billet retour (comptez au moins le prix de votre aller).

L’aller-retour vous permet généralement d’obtenir le tarif le plus avantageux. Cependant, il est impossible d’acheter un billet d’avion plus d’un an en avance. Ainsi, si vous achetez vos billets quelques mois avant votre départ, la date de retour ne correspondra pas à la fin de votre PVT

Chez certaines compagnies, il est néanmoins possible de modifier un billet retour (contre frais supplémentaires) ou encore d’acheter un billet open. Avec ce type de billet, vous pouvez modifier la date de votre retour, gratuitement ou moyennant finances.

Puisque l’escale est inévitable pour effectuer les 18 000 km de vol depuis la France ou la Belgique, vous pouvez en profiter pour faire un stop over. Cette option est proposée par de nombreuses compagnies aériennes et agences de voyage. Elle vous permet de séjourner plusieurs jours, voire plusieurs semaines, dans votre pays d’escale. Les vols vers la Nouvelle-Zélande passent principalement par l’Asie, les pays du Golfe ou encore l’Australie ou les États-Unis. Il existe également des billets multi-destinations ou tour du monde qui vous permettent de faire plusieurs stops sur une durée de 12 mois. Renseignez-vous, ça ne coûte pas forcément plus cher.

Où l’acheter ?

Internet vous permet d’obtenir un aperçu global des prix et des compagnies grâce aux
comparateurs de prix. Vous pouvez également consulter directement les sites des compagnies et acheter vos billets en ligne.

Toutefois, en cas de problème (par exemple si un retard vous fait manquer votre second vol après l’escale), il est généralement plus facile de correspondre avec des compagnies aériennes et des agences de voyage qu’avec des comparateurs en ligne. Les agences de voyage vous offrent des services supplémentaires et facilitent l’achat de billets avec date de voyage modifiable.

De plus, certaines agences offrent des réductions pour les détenteurs de Visa Vacances-Travail. Il est donc intéressant de frapper à toutes les portes pour trouver le meilleur prix et les conditions qui vous conviennent. Pour plus d’informations, consultez notre article Billets d’avion Australie et Nouvelle-Zélande : le bon plan des agences de voyage.

Quand l’acheter ?

Il n’y a pas forcément de meilleur moment pour acheter son billet. Plusieurs mois à l’avance, vous êtes certain d’obtenir un prix régulier qui sera peut-être plus avantageux qu’un billet acheté quelques jours avant le départ, sauf dans le cas où des offres de dernière minute sont proposées.

Il est intéressant de se pencher sur les offres spéciales de certaines compagnies et d’éviter les saisons les plus chères. Par exemple, le prix des billets augmente pendant la période des vacances scolaires (décembre-janvier pour la Nouvelle-Zélande, juillet-août pour la France, la Belgique et le Canada).

Pour plus d’informations, consultez notre dossier Acheter son billet d’avion pour la Nouvelle-Zélande.

Réserver un hébergement

Pour une arrivée réussie et sans stress en Nouvelle-Zélande, il est conseillé de s’organiser un minimum afin de savoir où dormir les premières nuits. Plusieurs possibilités s’offrent à vous.

Les auberges de jeunesse

Les auberges de jeunesse, couramment appelées backpackers ou hostels, sont un mode d’hébergement très populaire en Nouvelle-Zélande. Leur principal avantage est économique : elles coûtent peu cher (comptez souvent entre 20 et 30 $ pour une nuit en dortoir) et vous pouvez cuisiner vous-même plutôt que d’aller au restaurant. Vous pouvez aussi y faire des rencontres ! Les chambres peuvent être partagées ou individuelles.

Il existe un grand nombre d’auberges à Auckland, Christchurch, Wellington et Queenstown, facilement accessibles en bus depuis l’aéroport et suffisamment centrales pour vous permettre d’effectuer vos premières démarches comme l’ouverture d’un compte en banque ou la demande d’IRD number (on vous en reparlera plus tard dans ce guide mais il s’agit d’une démarche nécessaire pour pouvoir travailler en Nouvelle-Zélande). Vous pouvez facilement trouver leurs coordonnées et effectuer une réservation sur Internet avant votre départ, notamment sur le site Hostelworld.

Si la Nouvelle-Zélande est un pays plutôt sûr, il est néanmoins nécessaire de faire attention à ses affaires. Dans les grandes villes, certaines auberges mettent des casiers à disposition pour que vous puissiez y ranger vos objets de valeur comme votre ordinateur portable. Cela peut s’avérer rassurant les premiers jours. Au moment de votre réservation, pensez donc à vous renseigner pour savoir si des casiers sont présents dans les chambres ou ailleurs dans l’auberge. Vérifiez également s’il y a la Wifi (c’est généralement un service payant) et si les draps sont fournis (parfois, ils sont fournis en supplément, parfois vous pouvez utiliser votre sac de couchage).

Au-delà des auberges de jeunesse, vous trouverez en Nouvelle-Zélande toutes sortes d’hébergements touristiques : motels, campings, etc. Les campings (Holiday Parks ou Motor camps) peuvent s’avérer une option intéressante dans les villes moyennes et ils disposent parfois de dortoirs ou de bungalows (cabins) aux tarifs intéressants.

La location chez l’habitant

Si la perspective de chambres à 8 lits d’une auberge de jeunesse ne vous attire pas beaucoup, ou encore si vous souhaitez rencontrer des locaux, vous pouvez louer une chambre chez l’habitant, voire tout un appartement ou une maison. Des sites comme Airbnb vous permettent d’entrer en contact avec des hôtes, tout en bénéficiant de la sécurité d’une réservation et de garanties via le site web. Les appartements sont d’ailleurs vérifiés par les équipes des sites : normalement, pas de mauvaises surprises !

Le CouchSurfing

Le CouchSurfing est avant tout un état d’esprit ! Il s’agit d’un service d’hébergement temporaire, de particulier à particulier pour 14,29 € par an. Après vous être inscrit, vous pouvez demander l’hospitalité aux hôtes proposant un lit ou un canapé dans le lieu de votre choix. Mais CouchSurfing est bien plus que cela puisque derrière ce site se cache une communauté très active. Certains membres ne sont pas forcément disponibles pour héberger mais proposent des rencontres, des sorties, de faire visiter leur ville… Ce concept est l’occasion de faire de belles rencontres ! Avant d’envoyer une demande d’hébergement aux hôtes disponibles, remplissez bien votre profil, mettez une photo sympa et distinguez-vous en parlant de passions communes ou de vos projets ! Certains hôtes reçoivent énormément de demandes. Enfin, n’oubliez pas que CouchSurfing est basé sur un principe d’échange. À votre tour, vous pourrez inviter des voyageurs au budget serré quand vous serez installé, que ce soit pour proposer votre canapé ou aller faire un tour. Pour les femmes, il existe également le groupe Facebook Host a Sister qui gagne en popularité. Lisez notre article On a testé le CouchSurfing pour plus de détails.

Pour plus d’informations, consultez notre dossier Le logement en Nouvelle-Zélande.

Améliorer son anglais

Votre connaissance de l’anglais peut être déterminante dans votre parcours en Nouvelle-Zélande. Si vous souhaitez chercher un emploi rémunéré dès votre arrivée, il est très important d’avoir un niveau d’anglais au moins intermédiaire. C’est surtout le cas si vous envisagez un emploi dans les services ou dans un domaine qui nécessiterait la maîtrise de l’anglais à l’écrit et à l’oral. Dans chaque secteur, il est possible de trouver des postes qui demandent une certaine maîtrise de l’anglais (serveur, réceptionniste) et d’autres où un anglais basique est suffisant (à la plonge, fruit picking, packing…).

Avant le départ

Avant votre départ, différentes options s’offrent à vous pour vous permettre de speaker english very well. Voici quelques méthodes qui vous seront peut-être utiles pour améliorer votre compréhension, votre oral et votre expression écrite.

Améliorer sa compréhension

Vous pouvez lire en anglais : des magazines anglais ou bilingues (comme Vocable), des livres, des journaux ou des articles d’actualité sur la Nouvelle-Zélande disponibles en ligne (New-Zealand Herald, The Dominion Post, The Press). Certains journaux, comme Stuff, proposent même des quizz de culture générale (plutôt néo-zélandaise) tous les jours. Ainsi, vous apprendrez l’anglais tout en vous familiarisant avec des sujets d’actualité de la culture kiwi. Au départ, n’hésitez pas à utiliser un dictionnaire pour le vocabulaire. La petite astuce, c’est de faire ces lectures à haute voix pour vous mettre l’anglais en bouche et améliorer votre débit de parole. Regarder des séries ou des films en version originale sous-titrée est une bonne façon d’améliorer votre compréhension.

Commencez avec des sous-titres en français pour l’écoute de l’anglais puis tentez de mettre des sous-titres anglais (pour lier les paroles aux mots). Enfin, essayez d’enlever totalement les sous-titres. En effet, une fois sur place, les sous-titres ne pourront plus vous aider. Pour vous habituer à l’accent néo-zélandais, nous vous recommandons de consulter notre article recensant des films, des séries et des youtubeurs néo-zélandais. Pour joindre l’utile à l’agréable, la musique est une bonne façon d’apprendre un peu l’anglais et certaines tournures de phrases.

C’est peut-être aussi l’occasion de découvrir des artistes néo-zélandais. Retrouvez par exemple le top 20 des singles néo-zélandais ou les artistes néo-zélandais préférés des pvtistes. Vous pouvez aussi privilégier les livres audio ou les podcasts, en particulier ceux d’émissions de radio néo-zélandaises. La plupart des grandes stations offrent la possibilité d’écouter les émissions en direct sur Internet. L’écoute de la radio, en fond sonore, familiarise votre oreille à l’anglais, même si vous n’êtes pas extrêmement concentré sur ce que vous entendez.

Adresses utiles :

Améliorer son expression écrite

Pour vous permettre d’avoir une meilleure expression écrite, inscrivez-vous sur des forums anglophones dédiés à vos passions ou vos intérêts. De cette façon, vous pourrez communiquer quotidiennement en anglais. La lecture, aussi bien pour la compréhension que pour l’expression écrite, est une bonne façon d’améliorer votre anglais.

Mais pour que votre expression écrite s’améliore visiblement, des exercices d’écriture et de grammaire sont à envisager : échanger sur des forums ou des applis comme HelloTalk, tenir un “journal intime” en anglais sur votre futur départ ou encore prendre des cours en ligne avec Babbel (qui vous propose 20 % de réduction via pvtistes.net) ou encore Duolingo. Global Lingua (qui vous propose également une réduction via pvtistes.net) vous permet de prendre des cours avec des professeurs anglophones par téléphone ou en visio.

Améliorer son expression orale

Les échanges linguistiques

Les échanges linguistiques, proposés en nombre conséquent sur Internet, permettent à des personnes qui maîtrisent des langues différentes de partager leurs connaissances sans dépenser un centime. Les échanges ont souvent lieu dans un bar et consistent en deux périodes de discussion, l’une en français, l’autre en anglais. Vous pouvez également déposer une annonce pour ce type d’échanges dans les cités universitaires où les étudiants étrangers anglophones pourraient être intéressés d’échanger avec vous. Regardez également du côté du site Meet-up dans la partie “Langue et Culture” pour trouver ce type d’échanges ou sur PolyglotClub.

Prendre des cours d’anglais

Si votre niveau d’anglais est plutôt faible, prendre des cours d’anglais avant votre départ ou au moment de votre arrivée peut être une bonne chose pour acquérir des bases solides. Si vous quittez votre emploi pour partir en PVT, pensez à vous renseigner sur le nombre d’heures de votre Compte Personnel de Formation dont vous pouvez disposer. Vous pourrez peut-être suivre une bonne semaine de cours d’anglais juste avant votre départ.

Suivre des cours à votre arrivée vous aidera à vous plonger directement dans un environnement anglophone tout en multipliant les rencontres avec d’autres étudiants venus du monde entier avec qui vous échangerez en anglais. Il existe de nombreux organismes qui vous proposent ce genre de services à votre arrivée. Vous pouvez faire une demande de tarif auprès de notre partenaire Etudes Australie, sans engagement :

Une fois sur place

Les rencontres

Que ce soit à l’occasion d’une soirée ou dans le cadre du travail, vous aurez rapidement l’occasion de pratiquer et d’améliorer votre anglais une fois sur place. Dès votre arrivée, multipliez les rencontres avec des Néo-Zélandais ou des pvtistes et étudiants non francophones, avec qui vous échangerez le plus souvent en anglais.

Un séjour en auberge de jeunesse peut vous aider à vous intégrer petit à petit dans un monde anglophone. Là aussi, vous pouvez vous joindre à des associations d’échanges linguistiques ou bien déposer des annonces dans les universités néo-zélandaises pour proposer de tels échanges à des étudiants.

Les expériences bénévoles

Si votre niveau d’anglais est assez faible en arrivant, vous pourriez avoir des difficultés à trouver un emploi. Pour améliorer votre anglais sans perdre d’argent, vous pouvez envisager de faire des missions bénévoles ou du volontariat. Vous évoluerez dans un cadre décontracté (pas de crainte de perdre votre emploi ou de mal faire les choses), tout en améliorant votre anglais et en limitant vos dépenses (puisque vous serez le plus souvent logé et nourri, parfois même blanchi). Consultez le chapitre consacré au volontariat (WWOOFing, Workaway et HelpX) de ce guide pour en savoir plus.

Lancez-vous !

Le complexe des langues étrangères est quelque chose de très français (les Belges et les Canadiens francophones sont généralement plus à l’aise !). Ne vous dévaluez pas, vous avez très certainement un meilleur niveau d’anglais que vous ne le pensez. Il suffit d’avoir le courage de vous lancer. Les bases acquises lors de votre scolarité et que vous pensez avoir oubliées devraient rapidement revenir. Seule la pratique vous permettra d’améliorer votre anglais. Ne vous préoccupez pas de votre accent français. En Nouvelle-Zélande, vous croiserez des personnes avec des accents très différents. Un fort accent français n’est pas mal vu tant qu’il ne vous empêche pas d’être compris. La prononciation est plus importante que l’accent. Apprenez simplement à distinguer des mots tels que “angry” et “hungry”. Une prononciation correcte sans faute de grammaire sera nettement plus efficace qu’un accent “naturel” (qui ne le sera finalement peut-être pas) alors que votre grammaire est très approximative.

C’est vrai, ce n’est pas facile pour nous les francophones d’apprendre l’anglais. Pourtant, nous avons tous cette capacité d’apprendre. Et avec un peu d’efforts, de volonté et de confiance en soi, nous pouvons tous nous améliorer et même devenir bilingue pour certains. Au-delà des petites astuces que nous avons partagées avec vous ci-dessus, apprendre une langue est avant tout une question d’attitudes. Dans cet article, retrouvez les attitudes à avoir pour améliorer votre niveau de langue en PVT.

Ne réfléchissez pas trop non plus. Ne pensez pas à votre accent, ni même à votre grammaire d’ailleurs lorsque vous débutez. Parlez, tout simplement. Vous ferez probablement des fautes, c’est vrai. Mais c’est en en faisant que vous apprendrez, justement, à ne plus en faire.

Faire ses bagages

N’hésitez pas à consulter notre dossier Faire ses bagages pour un PVT Nouvelle-Zélande pour retrouver plus de détails sur le sujet.

Valise ou sac à dos ?

L’éternel débat. Ce choix dépend du type de voyage que vous souhaitez effectuer (plutôt sédentaire ou nomade ?), de la quantité d’affaires que vous emportez (strict minimum ou panoplie complète pour faire face à toute situation ?) et de votre dos ! Pour ceux qui ont des problèmes de dos, la valise à roulettes s’avère un choix plus judicieux quel que soit le type de voyage.

La valise permet une organisation assez simple de ses affaires et permet d’emporter plus de choses qu’un sac à dos. Si on attribue souvent la valise aux pvtistes sédentaires, elle peut s’adapter aux nomades qui se déplacent uniquement avec leur véhicule ou en bus. Par contre, elle n’est pas adaptée pour ceux qui prévoient de marcher sur de longues distances (elle est donc déconseillée pour le stop !). Il est essentiel de choisir une valise de bonne qualité si vous ne voulez pas qu’elle devienne un fardeau à la première roulette cassée.

Le sac à dos n’a pas ce type de problème et s’avère plus fiable, notamment si vous marchez sur une surface qui n’est pas plane. Néanmoins, sa contenance est moindre. Pour que le portage soit confortable, le poids du sac ne doit pas dépasser un quart de votre poids (un tiers au maximum) et sa taille doit être adaptée à la vôtre.

Veillez également à ranger votre sac de façon optimale pour trouver facilement vos affaires et faciliter le portage. Les affaires les plus lourdes doivent se trouver au plus près de votre dos, au milieu du sac.

Il existe des sacs à dos à tous les prix et pour tous les usages. Si vous envisagez de faire beaucoup de grandes randonnées, votre dos appréciera un équipement de qualité puisqu’il devra le supporter sur de longs kilomètres. D’ailleurs, bien plus que votre dos, ce sont vos hanches qui supportent le poids du sac grâce à la ceinture lombaire !

Douanes, interdictions et restrictions

Les compagnies aériennes appliquent un certain nombre de règles de sécurité. Il convient de vérifier ces conditions auprès de votre compagnie. Néanmoins, certaines règles s’appliquent au niveau international : est totalement interdit le transport de matières toxiques et/ou inflammables. Cela s’applique entre autres aux cartouches de combustible des réchauds de camping. Si vous emmenez un réchaud, vous devrez acheter votre combustible en Nouvelle-Zélande.

Vérifiez sa compatibilité avec les cartouches vendues sur place (pour le gaz, privilégiez les réchauds à cartouche à valve que l’on trouve partout dans le monde, contrairement aux cartouches perçables Campingaz qui sont difficiles à trouver hors de France).

En cabine, sont interdits :

  • les objets tranchants ou le matériel coupant, comme les couteaux ou les ciseaux ;
  • les équipements sportifs jugés dangereux, comme les bâtons de ski ou les boomerangs ;
  • les liquides, aérosols, pâtes et gels de plus de 100 millilitres.

Ces objets doivent impérativement être placés dans votre bagage en soute. Les liquides de moins de 100 millilitres peuvent être transportés en cabine dans un seul sac en plastique transparent et refermable d’une capacité d’un litre (20 x 20 cm environ). Les médicaments doivent être clairement identifiables et accompagnés d’une ordonnance.

En tant qu’île, la Nouvelle-Zélande applique des règles spécifiques pour protéger sa faune et sa flore endémiques. Un certain nombre de produits et d’objets, ainsi que les animaux, sont donc soumis à des restrictions et seront vérifiés par les douanes ou la Biosecurity à votre arrivée. Toute nourriture doit impérativement être déclarée (boissons et eau comprises).

Certains produits comme le miel, les coquillages, les produits aviaires (œufs, volaille), périssables et frais (fruits, légumes, champignons) sont interdits. L’importation d’alcool et de tabac est autorisée mais limitée à 4,5 litres de vin ou de bière, 3 bouteilles d’1,125 litre de spiritueux ou de liqueur et 50 cigarettes ou 50 grammes de tabac ou 50 grammes de cigares.

Toute drogue, y compris les drogues dites douces, et tout ustensile relatif aux drogues sont strictement interdits en Nouvelle-Zélande et leur importation et/ou possession peuvent entraîner une expulsion immédiate du pays.

Le transport de plus de 10 000 $ en espèces ou mandat doit être déclaré aux douanes.

Le matériel de plein air, de camping, de randonnée, les équipements sportifs et le matériel de pêche doivent être propres (absence de terre, matériel totalement sec, etc.). Si la Biosecurity considère qu’ils ne sont pas suffisamment propres, ils seront nettoyés à vos frais. Si vous emmenez votre animal de compagnie, vous aurez des démarches à faire avant le départ. Notez que certains animaux sont formellement interdits en Nouvelle-Zélande, même s’il s’agit d’animaux de compagnie.

C’est le cas des oiseaux, des reptiles, des serpents, des furets, des lapins, des souris, des rats et de certaines races de chien (pitbull, fila brasileiro, dogue argentin, tosa et dogue des Canaries). Pour les autres chiens et les chats, l’animal doit disposer d’un permis d’importation et sera placé en quarantaine pendant 10 jours minimum dans un centre de quarantaine, à l’arrivée. Il doit par ailleurs être équipé d’une micro-puce et être vacciné contre la rage.

La page Your Pets du site de la Biosecurity vous informe sur la législation en vigueur en Nouvelle-Zélande.

Pour plus de détails, consultez notre dossier Préparer son arrivée en Nouvelle-Zélande. Vous pouvez également consulter le site des douanes néo-zélandaises et de la Biosecurity.

Documents et objets de valeur

Ne mettez pas vos objets de valeur en soute, transportez-les dans votre bagage cabine et gardez-les toujours avec vous. Cela inclut vos papiers d’identité, vos bijoux, votre argent et votre matériel hi-tech (ordinateur portable, appareil photo…).

Documents indispensables

  • Votre passeport ;
  • votre visa PVT, à savoir le document que vous avez imprimé, intitulé “Work visa” ;
  • votre attestation d’assurance ;
  • votre justificatif de fonds.

Documents facultatifs

  • Votre permis de conduire accompagné de votre permis de conduire international (on reviendra sur ce sujet dans la partie Parcourir la Nouvelle-Zélande – Aspects pratiques de ce guide) : même si vous n’envisagez pas l’achat d’un véhicule, vous aurez peut-être l’occasion de conduire un véhicule de location ou que l’on vous aura prêté. Votre permis de conduire international pourrait également vous être utile pour la demande de numéro IRD (si vous envoyez une demande par courrier) ;
  • une copie de vos diplômes, qui peuvent vous être demandés pour certaines professions ;
  • des photocopies ou des scans de vos documents d’identité et de vos autres documents importants, à stocker dans un endroit différent des originaux, sur une clef USB ou sur votre boîte e-mail.

Les vêtements, que choisir ?

Le choix des vêtements dépend de votre projet (emploi, road trip, randonnée, travaux saisonniers, etc.) et de vos habitudes. Le climat néo-zélandais est tempéré avec des précipitations assez importantes et de nombreuses heures d’ensoleillement. L’été dans l’extrême nord du pays s’apparente à un climat subtropical, mais les zones montagneuses de l’Île du Sud connaissent des températures négatives (-10 °C) en hiver.

Dans le reste du pays, les températures sont plutôt douces. Vos vêtements peuvent donc s’adapter à la Nouvelle-Zélande, mais votre mode de vie ne sera sans doute pas le même. Si vous devez vous équiper sur place, vous trouverez sans problème des magasins adaptés, mais le choix y sera plus restreint et certains produits seront plus chers qu’en Europe ou au Canada.

Si vous voyagez en van et prévoyez de faire des activités en extérieur et de travailler dans des fermes, il vous faut des vêtements de type “plein air” solides, confortables et à séchage rapide, que vous pouvez superposer. Si vous travaillez dehors tôt le matin ou si vous campez (les soirées peuvent être fraîches !), vous apprécierez de pouvoir vous couvrir et vous découvrir facilement. Pour connaître l’équipement adapté à la randonnée et au fruit picking en Nouvelle-Zélande, consultez nos dossiers La randonnée en Nouvelle-Zélande : mode d’emploi et Le fruit picking et le travail saisonnier en Nouvelle-Zélande.

Si vous envisagez de vous installer en ville, prévoyez des vêtements adaptés aux entretiens d’embauche. Suivant votre emploi, vous pourriez avoir besoin d’une chemise blanche, d’un pantalon noir, d’un tailleur, de chaussures noires, etc. Ces articles ne sont pas toujours faciles à trouver quand on ne connaît pas les magasins. Les tailles sont différentes en Nouvelle-Zélande et certains vêtements ne sont pas vendus tout au long de l’année (les chemises et chemisiers, par exemple).

Dans tous les cas, la pluie et le vent étant monnaie courante en Nouvelle-Zélande, une veste imperméable et coupe-vent s’avère très utile !

Emporter un téléphone, un ordinateur, une tablette ?

Si vous disposez d’un téléphone mobile, vous pouvez décider de l’emporter avec vous pour éviter d’avoir à en acheter un en Nouvelle-Zélande. Un téléphone vous sera utile, en particulier pour votre recherche de logement et d’emploi. À votre arrivée, vous devrez acheter une carte SIM néo-zélandaise. Avant votre départ, assurez-vous que votre téléphone est débloqué (désimlocké), c’est-à-dire qu’il n’est plus rattaché seulement à votre opérateur français, belge ou canadien. Sans ça, vous ne pourrez pas utiliser votre téléphone avec une carte SIM néo-zélandaise.

Si vous disposez d’un téléphone français ou canadien subventionné (vous ne l’avez pas payé intégralement dès l’achat) celui-ci est le plus souvent bloqué. Vous pouvez faire débloquer votre mobile en téléphonant à votre opérateur (vous pouvez aussi le faire en ligne). La démarche est gratuite auprès des opérateurs français, mais parfois payante chez les opérateurs canadiens.

La Belgique interdisant aux opérateurs de subventionner leurs appareils, un GSM belge est en principe automatiquement désimlocké. Si vous n’êtes pas sûr que votre téléphone soit débloqué, vous pouvez faire le test en insérant la puce d’un autre opérateur dans votre téléphone. Si cette puce fonctionne, c’est que votre portable est débloqué. Pour en savoir plus, consultez le site Internet de votre opérateur de téléphonie mobile.

Beaucoup se demandent également s’ils doivent emporter leur ordinateur ou leur tablette. Cela dépend évidemment des choix de chacun, mais nombre de pvtistes font le choix de partir avec, dans la mesure où il s’agit d’un voyage de longue durée. Internet étant disponible dans pas mal d’endroits en Nouvelle-Zélande, vous n’aurez pas trop de difficultés à trouver une connexion Internet.

Pensez aux usages que vous pourriez faire d’un ordinateur (trier vos photos, regarder des films, communiquer avec vos proches, chercher un emploi, chercher des infos pour la suite de votre périple, communiquer avec des possibles hôtes…). Si vous utilisez habituellement beaucoup votre ordinateur, vous n’aurez aucun mal à en trouver un usage une fois sur place.

Toutefois, si votre ordinateur portable est imposant, il risque de vous encombrer plus qu’autre chose, en termes de place et de poids. D’autre part, c’est un objet de valeur auquel vous allez devoir faire attention (intempéries, vols…). À vous, donc, de peser le pour et le contre. Si votre ordinateur portable est trop lourd, vous pouvez aussi envisager de prendre un ordinateur plus léger ou vous tourner directement vers des tablettes qui vous permettent d’avoir les attributs d’un ordinateur (moins puissant toutefois) sans l’inconvénient du poids. Autrement, vous pouvez opter pour un PC hybride (le clavier est amovible, et vous pouvez utiliser l’écran comme une tablette) ou un ordinateur portable ultra-compact.

D’autres objets utiles

Voici une liste non exhaustive d’autres objets qui pourraient vous servir au cours de votre PVT.

  • Vos chargeurs d’appareil photo, de téléphone, de caméra, voire un chargeur allume-cigare si vous prévoyez de voyager en voiture / van ;
  • un disque dur externe et/ou une clef USB qui vous permettront de stocker vos documents et vos photos ;
  • un adaptateur de prise électrique si vous en avez un (ce sont les mêmes qu’en Australie), sinon vous en trouverez facilement sur place. Pensez également à emporter une multiprise de votre pays d’origine si vous avez plusieurs appareils à brancher ;
  • une petite pharmacie avec vos médicaments habituels, votre contraception (le cas échéant) et les ordonnances associées ;
  • du matériel de camping (sac de couchage, matelas, tente, réchaud et popote, etc.), et les petits accessoires associés (lampe frontale, couteau) si vous prévoyez de camper et que vous disposez déjà de ce matériel ;
  • une bonde universelle, indispensable pour laver votre linge à la main car les boucheurs d’évier sont rares dans les lieux publics ou les auberges ; une cordelette et quelques pinces à linge pour le faire sécher dans votre véhicule, votre chambre ou en camping ;
  • un masque de sommeil et des bouchons d’oreilles pour dormir au calme et dans le noir ;
  • un nécessaire de couture : repriser votre chemise avant un entretien d’embauche, réparer votre tente qui a une fuite… c’est toujours utile !

Pour plus de précisions sur tous les points abordés précédemment ou pour toute question, consultez notre forum Choisir son matos de voyage.

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(48) Commentaires

Anonyme I |

Bonjour,
Je vois qu’il n’y a pas eu de commentaires depuis un moment, je tente quand même.
J’aurai 55 ans en juillet et j’envisage d’aller en NZ cet été ou à l’automne.
J’aurais aimé prendre un visa tourisme-travail ne sachant pas quelle durée de séjour je vais avoir.
Est-ce possible ?
Sinon, puis-je démarrer par un visa tourisme et le transformer en visa travail si j’trouve un job sur place pour prolonger mon séjour ?
Un grand merci d’avance pour votre réponse,
Nathalie

Juliadf I |

Bonjour, pour avoir le visa working Holliday il faut avoir maximum 31 ans.

Anaïs I |

Bonjour, est-il possible de commander ce guide en livre? Merci pour votre réponse!

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Marie I |

Bonjour Anais,
Malheureusement non, nous ne proposons pas actuellement une version papier de ce guide.

Shana I |

Bonjour,
Mon compagnon et moi même comptons partir en PVT en nouvelle Zélande l’année prochaine, dans un éventuel espoir de poursuivre sur une demande de visa permanent. Seule hombre au tableau, si pour ma part j’aurais 26 ans, Mon compagnon lui en aura 30. Nous savons que ça sera la limite pour obtenir un PVT, mais quand sera t il pour un visa permanent étant donné qu’il fêtera ses 31 ??!
Nous sommes inquiets de voir notre rêve s’effondrer ?… si vous avez une réponse ? Merci !

Marie I |

Bonjour Shana,
Il n’y a pas de limites d’âge à 30 ans pour la résidence permanente…
Quand il y a une limite d’âge, celle-ci est généralement de 55 ans. Information que vous pouvez trouver sur le site de l’immigration néo-zélandaise quand vous cherchez des informations sur la résidence permanente en Nouvelle-Zélande en regardant les différentes options possibles 😉 (https://www.immigration.govt.nz/new-zealand-visas/options/live-permanently/all-resident-visas).

Charline I |

Bonjour,

J’ai passé les douanes sans faire valider mon visa. (Non volontaire bien sûre, tout est allé vite j’avais sortie tous les papiers pourtant bref s’est arrivé). Quel moyen pour faire valider mon pvt? Je pensais aller voir à l’aéroport demain.

Merci Charline

Marie I |

Saut Charline,
Tu as validé ton visa automatiquement à ton arrivée :). Pas besoin d’aller à l’aéroport.

Charline I |

Ah merci !!

Renaud I |

Bonjour,
Le 24 septembre 2018, je vais avoir 31ans.
Je suis français et je suis en train de faire ma demande de WHV pour la Nouvelle-Zélande.
Ma question est la suivante:
Si je reçois ma confirmation de WHV avant le 24 septembre prochain, cela veut dire que je pourrais arriver en NZ jusqu’au 23 septembre 2019 et donc profiter de mon voyage jusqu’au 23 septembre 2020?
Merci d’avance pour vos retours.
Renaud

Marie I |

Salut Renaud,

Oui, c’est ça.
Alors ensuite, cela dépend de ton âge. Si tu n’as pas encore 30 ans, autant demander ton PVT Nouvelle-Zélande quand tu es vraiment près à partir, quelques mois avant ton départ envisagé.
Les choses sont un peu différentes si tu vas bientôt avoir 31 ans. En effet, dans ce cas, fait-le relativement rapidement. Si c’est ton cas, et que tu veux attendre le dernier moment pour faire ta demande, il y a deux choses à prendre en compte :
– Le décalage horaire : si tu fais ta demande la veille de tes 31 ans, fais très attention car ils tiendront compte de l’heure néo-zélandaise. Ainsi, si tu fais ta demande en soirée, la veille de tes 31 ans, on sera déjà le lendemain avec le décalage horaire et tu seras alors trop vieux.
– La durée du trajet : tu arriveras automatiquement le lendemain de ton départ. Cela signifie donc que tu ne dois pas partir, dans ton exemple, le 23 septembre

Enfin, je te recommanderais de ne pas attendre le tout dernier jour pour prendre ton visa, ou partir : il peut y avoir des soucis techniques sur le site de l’immigration, une maintenance ou des choses de ce type. Idem, il peut y avoir des éléments extérieurs qui pourraient t’empêcher d’arriver au bon moment (annulation de vol, tempête, retards de vol, tu te blesses juste avant le départ).

Renaud I |

Salut Marie,
Et bien super!!!
Merci beaucoup pour ton retour.
J’ai fait ma demande de WHV hier, j’attends maintenant l’email d’acceptation de celui-ci.
J’ai 31ans dans 8 jours!!!
Ça va passer tout juste, je l’espère!!!
Pour ensuite pouvoir partir au mois d’août 2019.
À bientôt.
Renaud

Marie I |

La date qui compte est celle du dépôt de la demande.

Charline I |

Bonjour,
Petite question sommes nous obligés de prendre un billet aller retour ? Pour le pvt nz ?

Marie I |

Salut Charline,
Non, ça n’est pas obligatoire. Tu peux avoir un aller-simple si tu le souhaites. Mais si tu optes pour cette option, nous te recommandons EXTRÊMEMENT FORTEMENT de toujours garder les fonds pour te payer un billet retour à n’importe quel moment. Genre, tu gardes par exemple cette somme sur ton compte français et tu n’y touches que si tu décides de rentrer.

Anonyme I |

Bonjour !

J’ai une question svp. Alors ce n’est peut-être pas ici qu’il faut poser cette question mais bon.
J’ai un visa pour la NZ que je dois l’utiliser avant le 6 juillet 2018. Je voudrais savoir est-ce que je dois vraiment partir avant le 6 juillet ou alors puis-je partir le jour-même donc le 6 juillet ?
Merci pour toutes vos réponses.

bise

Marie I |

Salut Tony,
Je dirais que cela dépend du visa avec lequel tu souhaites partir… Tu pars avec un PVT (Working Holiday visa) ?
Attention toutefois, Si tu pars le 6 juillet, tu as de grandes chances d’arriver au moins le 7 juillet en Nouvelle-Zélande…

Anonyme I |

Salut Marie,

Heureusement que je demande car j’avais oublié ces détails. Merci pour ta réponse qui m’aide beaucoup. Je me permets stp de t’en poser une deuxième si tu veux bien ? On est bien d’accord qu’il est impossible d’annuler le working holiday NZ visa pour en avoir un autre ? Il n’y a aucune exceptions ?

Merci Marie,

Marie I |

Salut Toni et désolée pour le délai.
Non, il n’y a aucune exception (du moins, on n’en a jamais vu). Si tu n’entres pas en Nouvelle-Zélande, tu perds ton PVT Nouvelle-Zélande pour toujours. PAr contre, rien ne t’empêchera de faire un autre PVT dans un autre pays.

CYNLEH I |

Bonjour à tous !
Je me trouve actuellement sur Wellington (NZ). J’ai des vaccins à faire et je ne sais pas bien où me rendre. Je veux aller dans un endroit sûr ?. Est ce que certains d’entre vous des adresses ? Ça m’aiderait bien. Cheers.

Marie I |

Salut, tu cherches à faire quels types de vaccins ?

CYNLEH I |

Salut, j’ai besoin de faire mon rappel ROR et le vaccin pour l’hépatite A.

Marie I |

Tu peux aller voir Travel Doctor par exemple. Ce sont des médecins spécialisés en médecine de voyage.
A noter, dans tous les cas, que tes vaccins ne seront pas remboursés par ton assurance.

CYNLEH I |

C’est ce que j’ai fait ce jour même. J’ai rendez vous jeudi. Les prix sont pas mal élevés mais la santé n’a pas de prix ?. J’avais contacté hier mon assurance et effectivement cela n’est pas pris en charge. Merci en tout cas d’avoir pris le temps de répondre à ma question j’apprécie réellement. En espérant que cela puisse servir à d’autres ?

Morille I |

Bonsoir,
Pour information, il n’est plus possible de demander à faire traduire gratuitement son permis de conduire à l’ambassade de France à Wellington. J’ai tenté pas plus tard que ce vendredi 4 mai, la personne à la réception m’a redirigée vers le Département des Affaires Internes. Il est effectivement possible de faire la démarche auprès de ce dernier, moyennant 75§…

Marie I |

Merci Morille,
On va effectivement modifier ça (on l’avait changé il y a quelques temps dans les dossiers sur les préparatifs, mais pas sur le guide).

Quentin I |

Bonjour, sans doute que la question a déjà été posé mais désolé je ne trouve pas (ou dans une discussion très ancienne) et nous partons pour la Nouvelle Zélande dans 24h… Bref, voici la question : Nous voulons prendre notre assurance glob pvt. A la base, ne sachant pas combien de tems nous allons rester, nous comptions prendre au mois. Nous avons après lu dans votre article, que ca pouvait être dangereux si on nous demandait notre assurance à la douane, que notre la durée de notre visa corresponderait à la durée de notre assurance (surtout au Canada visiblement). Bref, est-ce risqué de fonctionner ainsi ( au mois par mois) en Nouvelle Zélande? Est-ce préférable de prendre l’année directement? Merci pour votre réponse

Marie I |

Salut,
C’est beaucoup moins risqué en Nouvelle-Zélande. Ensuite, la prendre mois par mois n’est pas non plus la meilleure solution dans la mesure où vous multipliez les risques de vous retrouver sans assurance pendant un certain laps de temps.
Or, si vous resouscrivez a une assurance avec ces quelques jours de trous, cela pourrait constituer un motif de refus pour les assurances qui pourraient faire valoir que tu devais être assuré pendant tout le séjour.
1 mois par 1 mois, c’est risqué. Mais si vous voulez le tenter, vous devez absolument vous ajouter des rappels par mail et sur votre téléphone pour ne pas oublier de souscrire de nouveau avant de vous retrouver sans assurance.