Une fois sur place
Les rencontres
Que ce soit à l’occasion d’une soirée ou dans le cadre du travail, vous aurez rapidement l’occasion de pratiquer et d’améliorer votre anglais une fois sur place. Dès votre arrivée, multipliez les rencontres avec des Néo-Zélandais ou des pvtistes et étudiants non francophones, avec qui vous échangerez le plus souvent en anglais.
Un séjour en auberge de jeunesse peut vous aider à vous intégrer petit à petit dans un monde anglophone. Là aussi, vous pouvez vous joindre à des associations d’échanges linguistiques ou bien déposer des annonces dans les universités néo-zélandaises pour proposer de tels échanges à des étudiants.
Les expériences bénévoles
Si votre niveau d’anglais est assez faible en arrivant, vous pourriez avoir des difficultés à trouver un emploi. Pour améliorer votre anglais sans perdre d’argent, vous pouvez envisager de faire des missions bénévoles ou du volontariat. Vous évoluerez dans un cadre décontracté (pas de crainte de perdre votre emploi ou de mal faire les choses), tout en améliorant votre anglais et en limitant vos dépenses (puisque vous serez le plus souvent logé et nourri, parfois même blanchi). Consultez le chapitre consacré au volontariat (WWOOFing, Workaway et HelpX) de ce guide pour en savoir plus.
Lancez-vous !
Le complexe des langues étrangères est quelque chose de très français (les Belges et les Canadiens francophones sont généralement plus à l’aise !). Ne vous dévaluez pas, vous avez très certainement un meilleur niveau d’anglais que vous ne le pensez. Il suffit d’avoir le courage de vous lancer. Les bases acquises lors de votre scolarité et que vous pensez avoir oubliées devraient rapidement revenir. Seule la pratique vous permettra d’améliorer votre anglais. Ne vous préoccupez pas de votre accent français. En Nouvelle-Zélande, vous croiserez des personnes avec des accents très différents. Un fort accent français n’est pas mal vu tant qu’il ne vous empêche pas d’être compris. La prononciation est plus importante que l’accent. Apprenez simplement à distinguer des mots tels que “angry” et “hungry”. Une prononciation correcte sans faute de grammaire sera nettement plus efficace qu’un accent “naturel” (qui ne le sera finalement peut-être pas) alors que votre grammaire est très approximative.
C’est vrai, ce n’est pas facile pour nous les francophones d’apprendre l’anglais. Pourtant, nous avons tous cette capacité d’apprendre. Et avec un peu d’efforts, de volonté et de confiance en soi, nous pouvons tous nous améliorer et même devenir bilingue pour certains. Au-delà des petites astuces que nous avons partagées avec vous ci-dessus, apprendre une langue est avant tout une question d’attitudes. Dans cet article, retrouvez les attitudes à avoir pour améliorer votre niveau de langue en PVT.
Ne réfléchissez pas trop non plus. Ne pensez pas à votre accent, ni même à votre grammaire d’ailleurs lorsque vous débutez. Parlez, tout simplement. Vous ferez probablement des fautes, c’est vrai. Mais c’est en en faisant que vous apprendrez, justement, à ne plus en faire.
Faire ses bagages
N’hésitez pas à consulter notre dossier Faire ses bagages pour un PVT Nouvelle-Zélande pour retrouver plus de détails sur le sujet.
Valise ou sac à dos ?
L’éternel débat. Ce choix dépend du type de voyage que vous souhaitez effectuer (plutôt sédentaire ou nomade ?), de la quantité d’affaires que vous emportez (strict minimum ou panoplie complète pour faire face à toute situation ?) et de votre dos ! Pour ceux qui ont des problèmes de dos, la valise à roulettes s’avère un choix plus judicieux quel que soit le type de voyage.
La valise permet une organisation assez simple de ses affaires et permet d’emporter plus de choses qu’un sac à dos. Si on attribue souvent la valise aux pvtistes sédentaires, elle peut s’adapter aux nomades qui se déplacent uniquement avec leur véhicule ou en bus. Par contre, elle n’est pas adaptée pour ceux qui prévoient de marcher sur de longues distances (elle est donc déconseillée pour le stop !). Il est essentiel de choisir une valise de bonne qualité si vous ne voulez pas qu’elle devienne un fardeau à la première roulette cassée.
Le sac à dos n’a pas ce type de problème et s’avère plus fiable, notamment si vous marchez sur une surface qui n’est pas plane. Néanmoins, sa contenance est moindre. Pour que le portage soit confortable, le poids du sac ne doit pas dépasser un quart de votre poids (un tiers au maximum) et sa taille doit être adaptée à la vôtre.
Veillez également à ranger votre sac de façon optimale pour trouver facilement vos affaires et faciliter le portage. Les affaires les plus lourdes doivent se trouver au plus près de votre dos, au milieu du sac.
Il existe des sacs à dos à tous les prix et pour tous les usages. Si vous envisagez de faire beaucoup de grandes randonnées, votre dos appréciera un équipement de qualité puisqu’il devra le supporter sur de longs kilomètres. D’ailleurs, bien plus que votre dos, ce sont vos hanches qui supportent le poids du sac grâce à la ceinture lombaire !
Quel que soit votre bagage, prenez garde à son poids vide (puis rempli), afin de ne pas dépasser le poids maximal autorisé par votre compagnie aérienne et pour un portage confortable au quotidien. La question de l’imperméabilité ou du sur-sac (rain cover) est également importante pour les jours pluvieux. Enfin, ne remplissez votre bagage qu’aux deux tiers, vous ferez sans doute des achats au cours de votre PVT !
Douanes, interdictions et restrictions
Les compagnies aériennes appliquent un certain nombre de règles de sécurité. Il convient de vérifier ces conditions auprès de votre compagnie. Néanmoins, certaines règles s’appliquent au niveau international : est totalement interdit le transport de matières toxiques et/ou inflammables. Cela s’applique entre autres aux cartouches de combustible des réchauds de camping. Si vous emmenez un réchaud, vous devrez acheter votre combustible en Nouvelle-Zélande.
Vérifiez sa compatibilité avec les cartouches vendues sur place (pour le gaz, privilégiez les réchauds à cartouche à valve que l’on trouve partout dans le monde, contrairement aux cartouches perçables Campingaz qui sont difficiles à trouver hors de France).
En cabine, sont interdits :
- les objets tranchants ou le matériel coupant, comme les couteaux ou les ciseaux ;
- les équipements sportifs jugés dangereux, comme les bâtons de ski ou les boomerangs ;
- les liquides, aérosols, pâtes et gels de plus de 100 millilitres.
Ces objets doivent impérativement être placés dans votre bagage en soute. Les liquides de moins de 100 millilitres peuvent être transportés en cabine dans un seul sac en plastique transparent et refermable d’une capacité d’un litre (20 x 20 cm environ). Les médicaments doivent être clairement identifiables et accompagnés d’une ordonnance.
En tant qu’île, la Nouvelle-Zélande applique des règles spécifiques pour protéger sa faune et sa flore endémiques. Un certain nombre de produits et d’objets, ainsi que les animaux, sont donc soumis à des restrictions et seront vérifiés par les douanes ou la Biosecurity à votre arrivée. Toute nourriture doit impérativement être déclarée (boissons et eau comprises).
Certains produits comme le miel, les coquillages, les produits aviaires (œufs, volaille), périssables et frais (fruits, légumes, champignons) sont interdits. L’importation d’alcool et de tabac est autorisée mais limitée à 4,5 litres de vin ou de bière, 3 bouteilles d’1,125 litre de spiritueux ou de liqueur et 50 cigarettes ou 50 grammes de tabac ou 50 grammes de cigares.
Toute drogue, y compris les drogues dites douces, et tout ustensile relatif aux drogues sont strictement interdits en Nouvelle-Zélande et leur importation et/ou possession peuvent entraîner une expulsion immédiate du pays.
Le transport de plus de 10 000 $ en espèces ou mandat doit être déclaré aux douanes.
Le matériel de plein air, de camping, de randonnée, les équipements sportifs et le matériel de pêche doivent être propres (absence de terre, matériel totalement sec, etc.). Si la Biosecurity considère qu’ils ne sont pas suffisamment propres, ils seront nettoyés à vos frais. Si vous emmenez votre animal de compagnie, vous aurez des démarches à faire avant le départ. Notez que certains animaux sont formellement interdits en Nouvelle-Zélande, même s’il s’agit d’animaux de compagnie.
C’est le cas des oiseaux, des reptiles, des serpents, des furets, des lapins, des souris, des rats et de certaines races de chien (pitbull, fila brasileiro, dogue argentin, tosa et dogue des Canaries). Pour les autres chiens et les chats, l’animal doit disposer d’un permis d’importation et sera placé en quarantaine pendant 10 jours minimum dans un centre de quarantaine, à l’arrivée. Il doit par ailleurs être équipé d’une micro-puce et être vacciné contre la rage.
La page Your Pets du site de la Biosecurity vous informe sur la législation en vigueur en Nouvelle-Zélande.
Pour plus de détails, consultez notre dossier Préparer son arrivée en Nouvelle-Zélande. Vous pouvez également consulter le site des douanes néo-zélandaises et de la Biosecurity.
Documents et objets de valeur
Ne mettez pas vos objets de valeur en soute, transportez-les dans votre bagage cabine et gardez-les toujours avec vous. Cela inclut vos papiers d’identité, vos bijoux, votre argent et votre matériel hi-tech (ordinateur portable, appareil photo…).
Documents indispensables
- Votre passeport ;
- votre visa PVT, à savoir le document que vous avez imprimé, intitulé “Work visa” ;
- votre attestation d’assurance ;
- votre justificatif de fonds.
Documents facultatifs
- Votre permis de conduire accompagné de votre permis de conduire international (on reviendra sur ce sujet dans la partie Parcourir la Nouvelle-Zélande – Aspects pratiques de ce guide) : même si vous n’envisagez pas l’achat d’un véhicule, vous aurez peut-être l’occasion de conduire un véhicule de location ou que l’on vous aura prêté. Votre permis de conduire international pourrait également vous être utile pour la demande de numéro IRD (si vous envoyez une demande par courrier) ;
- une copie de vos diplômes, qui peuvent vous être demandés pour certaines professions ;
- des photocopies ou des scans de vos documents d’identité et de vos autres documents importants, à stocker dans un endroit différent des originaux, sur une clef USB ou sur votre boîte e-mail.
Les vêtements, que choisir ?
Le choix des vêtements dépend de votre projet (emploi, road trip, randonnée, travaux saisonniers, etc.) et de vos habitudes. Le climat néo-zélandais est tempéré avec des précipitations assez importantes et de nombreuses heures d’ensoleillement. L’été dans l’extrême nord du pays s’apparente à un climat subtropical, mais les zones montagneuses de l’Île du Sud connaissent des températures négatives (-10 °C) en hiver.
Dans le reste du pays, les températures sont plutôt douces. Vos vêtements peuvent donc s’adapter à la Nouvelle-Zélande, mais votre mode de vie ne sera sans doute pas le même. Si vous devez vous équiper sur place, vous trouverez sans problème des magasins adaptés, mais le choix y sera plus restreint et certains produits seront plus chers qu’en Europe ou au Canada.
Si vous voyagez en van et prévoyez de faire des activités en extérieur et de travailler dans des fermes, il vous faut des vêtements de type “plein air” solides, confortables et à séchage rapide, que vous pouvez superposer. Si vous travaillez dehors tôt le matin ou si vous campez (les soirées peuvent être fraîches !), vous apprécierez de pouvoir vous couvrir et vous découvrir facilement. Pour connaître l’équipement adapté à la randonnée et au fruit picking en Nouvelle-Zélande, consultez nos dossiers La randonnée en Nouvelle-Zélande : mode d’emploi et Le fruit picking et le travail saisonnier en Nouvelle-Zélande.
Si vous envisagez de vous installer en ville, prévoyez des vêtements adaptés aux entretiens d’embauche. Suivant votre emploi, vous pourriez avoir besoin d’une chemise blanche, d’un pantalon noir, d’un tailleur, de chaussures noires, etc. Ces articles ne sont pas toujours faciles à trouver quand on ne connaît pas les magasins. Les tailles sont différentes en Nouvelle-Zélande et certains vêtements ne sont pas vendus tout au long de l’année (les chemises et chemisiers, par exemple).
Dans tous les cas, la pluie et le vent étant monnaie courante en Nouvelle-Zélande, une veste imperméable et coupe-vent s’avère très utile !
Emporter un téléphone, un ordinateur, une tablette ?
Si vous disposez d’un téléphone mobile, vous pouvez décider de l’emporter avec vous pour éviter d’avoir à en acheter un en Nouvelle-Zélande. Un téléphone vous sera utile, en particulier pour votre recherche de logement et d’emploi. À votre arrivée, vous devrez acheter une carte SIM néo-zélandaise. Avant votre départ, assurez-vous que votre téléphone est débloqué (désimlocké), c’est-à-dire qu’il n’est plus rattaché seulement à votre opérateur français, belge ou canadien. Sans ça, vous ne pourrez pas utiliser votre téléphone avec une carte SIM néo-zélandaise.
Si vous disposez d’un téléphone français ou canadien subventionné (vous ne l’avez pas payé intégralement dès l’achat) celui-ci est le plus souvent bloqué. Vous pouvez faire débloquer votre mobile en téléphonant à votre opérateur (vous pouvez aussi le faire en ligne). La démarche est gratuite auprès des opérateurs français, mais parfois payante chez les opérateurs canadiens.
La Belgique interdisant aux opérateurs de subventionner leurs appareils, un GSM belge est en principe automatiquement désimlocké. Si vous n’êtes pas sûr que votre téléphone soit débloqué, vous pouvez faire le test en insérant la puce d’un autre opérateur dans votre téléphone. Si cette puce fonctionne, c’est que votre portable est débloqué. Pour en savoir plus, consultez le site Internet de votre opérateur de téléphonie mobile.
Beaucoup se demandent également s’ils doivent emporter leur ordinateur ou leur tablette. Cela dépend évidemment des choix de chacun, mais nombre de pvtistes font le choix de partir avec, dans la mesure où il s’agit d’un voyage de longue durée. Internet étant disponible dans pas mal d’endroits en Nouvelle-Zélande, vous n’aurez pas trop de difficultés à trouver une connexion Internet.
Pensez aux usages que vous pourriez faire d’un ordinateur (trier vos photos, regarder des films, communiquer avec vos proches, chercher un emploi, chercher des infos pour la suite de votre périple, communiquer avec des possibles hôtes…). Si vous utilisez habituellement beaucoup votre ordinateur, vous n’aurez aucun mal à en trouver un usage une fois sur place.
Toutefois, si votre ordinateur portable est imposant, il risque de vous encombrer plus qu’autre chose, en termes de place et de poids. D’autre part, c’est un objet de valeur auquel vous allez devoir faire attention (intempéries, vols…). À vous, donc, de peser le pour et le contre. Si votre ordinateur portable est trop lourd, vous pouvez aussi envisager de prendre un ordinateur plus léger ou vous tourner directement vers des tablettes qui vous permettent d’avoir les attributs d’un ordinateur (moins puissant toutefois) sans l’inconvénient du poids. Autrement, vous pouvez opter pour un PC hybride (le clavier est amovible, et vous pouvez utiliser l’écran comme une tablette) ou un ordinateur portable ultra-compact.
D’autres objets utiles
Voici une liste non exhaustive d’autres objets qui pourraient vous servir au cours de votre PVT.
- Vos chargeurs d’appareil photo, de téléphone, de caméra, voire un chargeur allume-cigare si vous prévoyez de voyager en voiture / van ;
- un disque dur externe et/ou une clef USB qui vous permettront de stocker vos documents et vos photos ;
- un adaptateur de prise électrique si vous en avez un (ce sont les mêmes qu’en Australie), sinon vous en trouverez facilement sur place. Pensez également à emporter une multiprise de votre pays d’origine si vous avez plusieurs appareils à brancher ;
- une petite pharmacie avec vos médicaments habituels, votre contraception (le cas échéant) et les ordonnances associées ;
- du matériel de camping (sac de couchage, matelas, tente, réchaud et popote, etc.), et les petits accessoires associés (lampe frontale, couteau) si vous prévoyez de camper et que vous disposez déjà de ce matériel ;
- une bonde universelle, indispensable pour laver votre linge à la main car les boucheurs d’évier sont rares dans les lieux publics ou les auberges ; une cordelette et quelques pinces à linge pour le faire sécher dans votre véhicule, votre chambre ou en camping ;
- un masque de sommeil et des bouchons d’oreilles pour dormir au calme et dans le noir ;
- un nécessaire de couture : repriser votre chemise avant un entretien d’embauche, réparer votre tente qui a une fuite… c’est toujours utile !
Pour plus de précisions sur tous les points abordés précédemment ou pour toute question, consultez notre forum Choisir son matos de voyage.
(55) Commentaires
Bonjour à tous,
Auriez vous un garage à me recommander sur Wellington pour faire l’entretien et vidange de la voiture svp ? Merci 🙂
Salut Marine,
Personnellement, je n’en ai pas mais n’hésite pas à publier sur notre groupe Facebook pvtistes / Francophones / Français en Nouvelle-Zélande https://www.facebook.com/groups/307851156806574
Belle journée,
Pamela
Bonjour, nous sommes en PVT en NZ depuis octobre 2023. Nos visas expirent donc dans moins de 3 mois. Nous aimerions continuer de travailler jusqu’en octobre et ensuite demander un visitor visa pour finir de visiter le pays pendant un mois. Est ce possible ? Nous savons qu’il faudra payer 211 nzd ce visa si nous demandons depuis la NZ. Je voudrais simplement être sûr que c’est possible après un PVT sans quitter le territoire.
Merci d’avance
Salut 🙂
Oui, il est tout à fait possible de demander un visitor visa sans quitter le pays.
Belle journée,
Pamela
Super ! Merci 🙂
Bonjour, le lien pour le compte wise est-il toujours bon car lorsque je rentre ce lien je suis dans votre page d’accueil je l’ai rentré sur mon téléphone car je n’ai pas de pc sur moi
Hello,
Oui, le bon plan fonctionne toujours. Il faut bien passer par le lien du bon plan ici pour sa première inscription https://pvtistes.net/bonsplans/wise/ 🙂
Bonjour,
Je vois qu’il n’y a pas eu de commentaires depuis un moment, je tente quand même.
J’aurai 55 ans en juillet et j’envisage d’aller en NZ cet été ou à l’automne.
J’aurais aimé prendre un visa tourisme-travail ne sachant pas quelle durée de séjour je vais avoir.
Est-ce possible ?
Sinon, puis-je démarrer par un visa tourisme et le transformer en visa travail si j’trouve un job sur place pour prolonger mon séjour ?
Un grand merci d’avance pour votre réponse,
Nathalie
Bonjour, pour avoir le visa working Holliday il faut avoir maximum 31 ans.
Bonjour, est-il possible de commander ce guide en livre? Merci pour votre réponse!
Bonjour Anais,
Malheureusement non, nous ne proposons pas actuellement une version papier de ce guide.
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